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Editeur : Akileos
sortie : octobre 2012
208 pages
genre : drame
Résumé (Editeur)
Nao Brown souffre de TOC, mais pas de ces manies qui consistent à sans cesse se laver les mains ou à toujours tout ordonner. Non, Nao souffre de violentes obsessions morbides et ses compulsions prennent la forme de rituels mentaux invisibles.
Nao travaille à temps partiel dans un magasin d’art toys tout en essayant de faire décoller sa carrière d’illustratrice. Elle est toujours à la recherche de cet amour insaisissable : l’amour parfait. Et quand elle rencontre l’homme de ses rêves, elle s’aperçoit… que les rêves peuvent être un peu étranges.
Quant aux exercices de méditation que pratique Nao, ils sont pour elle une tentative pour apaiser son esprit et ouvrir son cœur. Grâce à eux, elle se rend finalement compte que tout n’est pas noir ou blanc. En réalité, tout est plutôt… marron.
Je ne suis pas un grand lecteur de récits intimistes ou par trop introspectifs. Aussi, c’est avec une pointe d’appréhension que j’ai entamé la lecture des 208 pages de cet album à la couverture étrange. En effet, sans être véritablement belle, cette couverture attire l’oeil du badaud trainant ses braies entre les étals surchargés de sa librairie préférée. J’ai donc ouvert mon esprit, laissé parler ma passion pour la BD, et un soir après avoir larvé quelques heures devant la télé j’ai ouvert ce livre.
Je ne l’ai plus quitté jusqu’à la dernière page.
Nao qui ressemble à une jeune fille ordinaire, plutôt jolie, est en proie à des démons intérieurs qui la rongent à petit feu en ayant des visions d’elle même en meurtrière compulsive. Ces images l’assaillent et ruinent son équilibre psychique la ballotant sans cesse entre amour et haine d’elle même et des autres. Seul un rituel mental et la pratique de la méditation dans un cercle Bouddhiste lui permettent de tenir le coup et de faire bonne figure en société. Et encore, ce mécanisme d’autodéfense demeure bien fragile face à des pulsions destructrices et auto destructrices. Elle se croit malade mentale, dangereuse et essaye de se convaincre que les autres l’aime et l’apprécient sans vraiment trop y croire. Est elle ange ou démon ? Impossible d’y répondre tant elle veut paraitre ange et tant elle est persuadée d’être démon.
« Ils ne se doutent pas que je suis une putain de malade mentale »
Tout cela parait bien compliqué. Et pourtant, c’est juste l’histoire d’une jolie jeune femme, avec des préoccupations de jeune femme (relations, boulot, amour), qui se bat contre ses peurs et ses angoisses. D’ailleurs, dans le premier tiers de l’album, excepté les visions morbides et inquiétantes de Nao , il ne se passe rien. On regarde la vie apparement normale de cette jeune femme se dérouler sous nos yeux.
Glyn Dillon réussi cependant à capter l’attention du lecteur dès les premières pages. D’abord par son graphisme tout en aquarelles douces et chatoyantes décrivant avec réalisme des scènes simples et banales de la vie quotidienne.
Les changement d’attitudes de Nao sont dessinés avec une telle précision qu’on comprend de suite ses états d’âmes et ses souffrances. Gaîté, inquiétude, terreur, effroi, peur, angoisse, tous les sentiments par les quels elle passe sont vraiment bien retranscrits par des jeux de teintes judicieusement employés rendant les traits des personnages très expressifs.
Et puis la fluidité et la justesse des dialogues et récitatifs nous font plonger littéralement dans cette histoire. On a l’impression de faire partie de la scène et d’entendre parler les personnages.
Après le faux rythme du début, l’histoire prend du poids et de l’ampleur à chaque page pour se finir en drame quasiment Shakespearien.
Cette histoire nous amène à réfléchir sur nos propres obsessions, mais aussi sur l’estime de soi, sur le regard des autres, sur nos rapports aux autres. Combien croisons-nous de personnes apparemment bien, en proie à de grandes souffrances ? Connaissons-nous vraiment les gens qui nous entourent, nos amis, nos collègues, nos voisins, nos proches ?
Sans jamais tomber dans le mélodrame, Dillon arrive à traiter d’un sujet très dur et sensible, touchant à l’intime de chacun.
Le récit est entrecoupé à plusieurs reprises d’une fable inventée par l’auteur au traitement graphique différent : de splendides grandes images sur fond noir. Dans le feu de la lecture ces coupures sont difficiles à raccorder au récit principal. On sent bien qu’il y a un rapport avec le manga favori de Nao, et la propre histoire de Nao, mais une deuxième lecture de cette douzaine de pages est nécessaire pour faire la connexion avec le récit principal. Il y est question de dualité, de famille déchirée, d’amour, de reconnaissance, de sacrifice, de lutte, de différences, d’équilibre, de pardon… Tous ces thèmes sont plus ou moins présents dans l’histoire de Nao et on peut penser que cette fable est la transposition onirique de ce que vit Nao. Le parallèle n’est pas toujours évident mais le traitement graphique de ces passages est splendide.
Un livre magnifique pour une histoire bouleversante qui mérite assurément le détour et dont la lecture ne laisse pas indemne.
Enfin, une fois la lecture achevée, c’est avec un autre regard que l’on redécouvre la couverture – pleine de sens – que l’on trouvait pas terrible au début.
Loubrun

Dessin : Sylvain Vallée – Scénario: Fabien Nury
Editions Glenat
Sortie : 24/10/2012
66 pages
Prix conseillé : 14,95 €
ISBN : 9782723484992
Histoire – Biographie romancée.
Résumé (de l’éditeur): Juillet 1949. Joseph Joanovici comparaît devant la Cour de Justice de Paris pour collaboration. Son avocat est optimiste : les jurés lui pardonneront d’avoir fait fortune sur le dos des nazis, quand ils verront le nombre de Juifs qu’il a sauvés ! Monsieur Joseph lui aussi veut encore croire qu’il pourra se faire oublier, peut-être même trouver refuge en Terre Promise… C’est sans compter sur la haine tenace du juge Legentil, qui suivrait son ennemi intime jusqu’en enfer si cela lui permettait de faire triompher la justice.
Mon avis : C’est le 6e et dernier tome d’une série, une saga qui a été reconnue par le public et la critique, récompensée par le Prix de la série au festival d’Angoulème 2011 (enfin une récompense qui fait l’unanimité). C’est un immense succès en librairie et c’est mérité. SambaBD n’a pas cessé de dire à ses lecteurs qu’il s’agissait d’une série de tout premier plan, à ne pas rater. Elle a tenu les lecteurs en haleine jusqu’à la dernière planche.
Jusqu’au bout de sa vie, Joseph Joanovici, le personnage principal, a cru en sa bonne étoile et a cru pouvoir se refaire, faire oublier son passé trouble, ses petites et grandes magouilles, passer pour un philanthrope et un sauveur de la France. Mais c’est sans compter sur la haine tenace du juge Legentil qui ne va pas lâcher le morceau et va le poursuivre jusqu’à son dernier souffle pour faire triompher la vérité et la justice.
Fabien Nury et Sylvain Vallée ont fait un travail extraordinaire pour nous raconter de façon romancée la vie réelle de Joseph Joanovici. Ils réussissent à rendre aux lecteurs les sentiments contradictoires qui émanent de cette histoire. Le personnage principal est à la fois grandiose et abject, séducteur et manipulateur, Dr Jekyll et Mister Hyde, le bien et le mal. Les auteurs nous le décrive d’une façon tellement extraordinaire que le lecteur ne peut être que perturbé, ne sachant plus où est la limite entre l’acceptable et l’inacceptable. Tant au niveau du dessin que de la narration, il s’agit d’une bande dessinée réussie et extraordinaire.
On en est même à se demander ce que va faire ce tandem après cette saga qui restera marquée d’une pierre blanche. Si vous ne connaissez pas cette série, lisez-là sans attendre. Ce serait impardonnable !
Une petite maxime pour terminer, reprise en page de garde de ce 6e tome, et qui résume bien l’album :
« Nul homme n’est assez riche pour racheter son passé ». Oscar Wilde.
Graphisme : 8,5/10
Scénario : 9,5/10
Moyenne : 9,0/10
Capitol.

Auteurs : Ippoliti et Agrimbau.
Editeur : Casterman.
Sortie : 10/2012
L’intrigue.
Ernesto Guevara Lynch père et fils (le futur « Che) sont l’un et l’autre membre actif d’Action Argentine, une organisation dont le but est d’enquêter sur les activités militaires nazies dans leur pays. Au cours des derniers mois de la Seconde Guerre mondiale, ils décident de s’infiltrer dans ce qu’ils pensent être un bastion nazi : l’Hôtel Eden, un lieu où eux-mêmes ont séjourné en famille quelques années auparavant.
Ernesto père se fait embaucher pour réaménager le terrain de golf de l’hôtel, tandis qu’Ernesto fils, treize ans, renoue avec celle qui à l’époque avait été sa nourrice, Helena Werber, devenue opératrice radio pour les S.S. Grâce à elle, Ernesto réussit à obtenir des informations confidentielles, notamment à propos d’une livraison d’armes imminente. Mais encore faut-il, pour exploiter ces informations, parvenir à tromper la vigilance de Raynard, un jeune nazi protégé de Goebbels, qui ne rêve que de séduire Héléna…

Au paradis ?
Voilà bien une BD qui a quelques petits atouts pour se démarquer de la déferlante actuelle. En premier lieu, on découvre grâce à elle, des auteurs argentins artisans du renouveau de la bande dessinée dans leur pays. En deux, ils nous font découvrir la 2e guerre mondiale en Amérique du Sud .Un sujet rarement traité et assez méconnu en Europe. En trois, cet album aborde la jeunesse d’un personnage mythique : le célèbre Ché Guévara.
Bref, un album bien tenant se déroulant dans une résidence bien particulière, l’Eden Hotel . Un bâtiment assez envoutant qui sera à la fois une sorte de dispensaire, un lieu de villégiature mais aussi un nid de frelons SS. Tout cela est véridique par contre le rôle du Ché est lui totalement inventé .Vous découvrirez cela grâce à l’interview d’ Agrimbeau en fin d’album qui explique ses choix en tant que scénariste.
Pour le dessin, ma première impression m’a fait penser au style roman photo .Les postures sont en effet assez figées mais si on examine de plus près le trait d’Ippoliti, on remarque une très grande finesse accompagné d’un souci du détail indéniable .Il joue aussi admirablement bien avec les attitudes qui sont l’air de rien, assez subtiles.
Voilà, je ne dis pas que c’est la BD du siècle mais je lui ai trouvé un intérêt certain. En plus ce n’est pas le style d’histoire qu’on oublie 24 heures après sa lecture.
Scénario : 7/10.
Dessin : 7/10
Global.
Public cible : les petits curieux révolutionnaires
Samba.
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Auteur : Riff Reb’s
Editeur : Soleil
Collection : Noctambule
136 planches
Date de sortie : 10/2012
Genre : Aventure

Dessin : Cromheecke – Scénario: Letzer
Editions Glenat
Sortie : 26/09/2012
208 pages
Prix conseillé : 30,00 €
ISBN : 9782723486927
Humour
Résumé (de l’éditeur): Tonton Tom Carbone a toujours des tas d’histoires à raconter ! Des histoires de lapins, de loups, d’ours, de poules, de veaux, vaches, cochons, couvée, et même, tiens, des contes de fée. Seulement voilà : les lapins de Tom Carbone pilotent des motos pour aller acheter des croissants qui parlent et ses ours se déguisent en chasseurs de papillons…
Mon avis : Tom Carbone est une des séries d’humour que j’aime le plus mais apparemment tout le monde ne partage pas mon avis. Au départ, Tom Carbone a sévi dans le journal de Spirou puis a été édité en quatre tomes chez Dupuis. C’est la logique commerciale. Ensuite, plus rien…Plus de 10 ans de silence. Il y avait bien moyen de dégoter un 5e tome paru mais uniquement en langue néerlandaise. Il fallait vraiment beaucoup aimer Tom Carbone pour se lancer dans la langue de Vondel…Et voilà que les éditions Glenat, sous l’impulsion de Lewis Trondheim, grand fan de la série, qui préface l’album, nous sortent, je cite : « une intégrale en deux volumes de la série culte et épuisée depuis belle lurette en France ! Une série qui développe un humour tendre et absurde, vénérée par toute une génération d’auteurs de BD ! » J’en viens maintenant à me poser la question de savoir pourquoi Dupuis n’a pas voulu aller plus loin que le tome 4 de cette série. Je suppose que cette série n’a pas trouvé son public. Culte mais pas vendeur…
Les auteurs sont anversois. Laurent Letzer est issu d’une famille francophone d’Anvers (je ne sais pas s’il est copain avec Bart De Wever, le nationaliste flamand, futur bourgmestre d’Anvers!…). Luc Cromheecke a baigné dans une ambiance artistique puisque son grand-père était un sculpteur de renom. Le chameau à l’entrée du zoo d’Anvers, c’est lui. Laurent et Luc se rencontrent aux Beaux-Arts d’Anvers. Férus de Gotlib et Franquin, ils vont à contre courant de leurs professeurs. Luc Cromheecke a même l’honneur de se faire virer (comme un certain Vincent Van Gogh, 100 ans auparavant). Pas question de faire des « petits Mickeys » ! Laurent Letzer est intrigué par le côté « révolutionnaire » de Luc Cromheecke et lui propose de collaborer pour le meilleur et pour le rire… Tom Carbone est né…
Un entretien d’introduction avec les auteurs vous fait entrer dans leur monde en début
d’album. Suivent ensuite les deux premiers tomes de Tom Carbone à savoir : « en bonne compagnie » et « mise en boite » qui sont pour moi les deux meilleurs tomes parus en français. Même si graphiquement Tom Carbone va évoluer et s’améliorer par la suite, le scénario est vraiment extraordinaire. Le premier volume de l’intégrale se poursuit avec deux histoires inédites à savoir « Lunatoys » et « Tannenbaum ». Ce sont deux histoires complètes qui se suivent et sont très représentatives de l’univers de Tom Carbone. Elles ne sont jamais parues en album en français et c’est le vrai plus de ce premier volume de l’intégrale. Je n’ai qu’un seul regret : « Tannenbaum » a été ressorti des archives de Luc Cromheecke mais se trouve toujours à l’état brut. Le dessin est semi-fini et les couleurs sont merdiques…Cela fait peut-être un peu « vintage » et « découverte de la tombe de Toutankhamon » mais je trouve qu’il aurait pu terminer le travail. Cela donne l’impression que Cromheecke est mort alors qu’il est encore bien vivant. J’ai entendu dire qu’il ne travaille pas très vite. Mais ce n’est pas Hergé non plus qu’on essaye de réanimer dans sa tombe!…
En conclusion, j’attendais un retour de tom Carbone, cette intégrale me comble…Le second tome est prévu pour janvier 2013. Les éditions Glénat vont-elles pour autant définitivement relancer la série et sortir des nouvelles histoires ? L’avenir nous le dira…Pour ma part, j’adore. Mais je ne pense pas être des plus objectifs sur ce coup là. La France est-elle réellement prête à accueillir cet humour là, teinté de non sense, de surréalisme et d’une gouaille bien belge et flamande ?
Graphisme : 8,0/10
Scénario : 9,0/10
Moyenne : 8,5/10
Capitol.
Scénario & Dessin : Charles Burns
Editeur : Cornélius
DL : 10/2012
ISBN : 978-2-360-81046-8
52 Pages.
Dans Toxic, Charles Burns a créé un monde riche et étrangement fouillé se concentrant sur Doug, un adolescent blessé, qui vient de rompre avec sa petite amie Sarah.
Scénario : Jorion, Paul
Dessin : Maklès, Grégory
Couleurs : Kness
Dépot légal : 10/2012
Editeur : Futuropolis
Planches : 117

Autobiographie
One Shot
Editions : Delcourt
Collection : Shampooing
Dépôt légal : 11/2011
Scénario et Dessin : Guy Delisle
Couleurs : Firoud Lucie et Delisle Guy
Résumé :
Pour suivre sa femme qui travaille dans une ONG, Guy Delisle s’installe pour un an à Jérusalem avec ses deux enfants.
De mois en mois, il dessine ses pérégrinations, ses rencontres, ses états d’âme, dans un état hébreu toujours en conflit armé.
Mon avis :
La simplicité du graphisme et des couleurs (aplats de camaïeux de gris) conforte la candeur du personnage principal qui navigue parmi des paysages souvent désolés et arides.
Cet homme au foyer fait face aux situations quotidiennes avec une naïveté désarmante. Sans émettre de jugement, il observe et décrit, raconte tel qu’il le voit le conflit israélo-palestinien.
Et le lecteur le suit dans ses déboires et ses émerveillements, sans se poser de questions.
Guy Delisle est un guide aussi cocasse que spirituel qui nous invite au voyage, dans un pays dévasté par des années de guerres monothéistes.
Chroniques de Jérusalem, c’est un pavé ( du mur des lamentations ???), plus gros que « Pyongyang » et que « Chroniques Birmanes ». On sait que le plaisir va durer longtemps. Il me tarde déjà de lire « Shenzhen ».
N’hésitez pas visiter le blog de Guy Delisle, croquis et photos vous plongent dans Jérusalem comme si vous y étiez.
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Ma note : 9,5/10
Sophie

Dessin & Scénario: Sui Kasai
Editions Ki-oon
Sortie : 11/10/2012
208 pages
Prix conseillé : 7,65 €
ISBN : 9782355924446
Manga, shojo, chroniques, adolescente

Auteurs : Dufaux et Jérémy.
Editeur : Dargaud.
Sortie : 11/2012
Vengeance.
Le temps passe sur l’île de Puerto Blanco. Emilio, Raffy et Maria tracent leur chemin sur ces terres soumises au règne de la vengeance… et de l’amour. Et les destins s’accomplissent, inexorablement. Alors que d’autres secrets affleurent, la mer apporte des nouvelles du Barracuda, mais aussi du capitaine de la Loya.
Election.
Et le nouveau président des états unis du franco-belge est le candidat dessinateur …Jérémy.
Bon, il faut dire que ses affiches électorales étaient des plus alléchantes surtouts quand il se présentait avec sa colistière Maria Del Sceubo en petite tenue de surcroit. Un procédé que son adversaire jugea, je cite, de crapuleux ! Il est vrai que la somptueuse Maria est vraiment irrésistible ….. rrrr quel regard de braise. On peut dire qu’il a cassé la baraque avec ses dessins charismatiques.

Du coté du candidat scénariste, on fait grise mine. Visiblement le message de Jean Dufaux est mal passé dans l’opinion publique notamment quand il a annoncé que les malades seraient tous envoyés sur l’ile des lépreux. En plus, l’électorat a pris peur quand il a annoncé le retour des Léviathans suite au réchauffement climatique. On peut se demander si Mr Dufaux n’avait pas un peu abusé de substance hallucinogène lors de certains discours.
Bref, ces élucubrations métaphysiques ont fait pencher la balance des votes vers le jeune dessinateur belge. Une campagne décrire par les spécialistes de remarquable .On notera ses discours francs, droit dans les yeux de ses adversaires qui ont parfois terminés par un bon duel à l’épée comme à la bonne époque. Ses parades verbales lors des débats télévisés et ses actions d’éclat sur le terrain ont débouché sur cette victoire qui entrera dans l’histoire. Gloire à Jérémy 1er, longue vie à notre président !
Scénario : 7/10.
Dessin : 10/10
8/10 Global.
Public cible : les Duellistes dans l’âme.
Samba.
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C’est le grand retour de Michel Vaillant, le pilote-vedette des plus grands circuits internationaux. Confronté aux nouveaux enjeux sportifs et technologiques, le clan Vaillant doit faire face aux évolutions de l’industrie automobile, mais aussi aux mutations de la société.
Trois générations d’hommes et de femmes ont désormais en main le destin de l’entreprise, dont le tout premier challenge est de renouer avec la victoire, en débutant par le WTCC, le très disputé championnat du monde des voitures de tourisme. Et de sauver la cohésion familiale, malgré les convictions contradictoires des uns et des autres.
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