Scénario/ Dessin : Repos, Sylvain
Couleurs : Noiry
Dépôt légal : 01/2021
Editeur : Dargaud
Pages : 147
Lire la suite « Yojimbot Tome 1. Silence métallique »Scénario/ Dessin : Repos, Sylvain
Couleurs : Noiry
Dépôt légal : 01/2021
Editeur : Dargaud
Pages : 147
Lire la suite « Yojimbot Tome 1. Silence métallique »Wanted Lucky Luke
Scénario / Dessin / Couleurs : Bonhomme, Matthieu
Dépôt légal : 04/2021
Planches : 66
Editeur : Dargaud / Lucky Comics
Genre : aventure, western, légende de la BD
Lire la suite « Lucky Luke (vu par …) Tome 2 »Scénario : Loulou Dédola
Dessin & couleurs : Merwan
Dépot légal : 09/2016
Editeur : Glénat
Genre : Thriller politico-social
http://findufond.blogspot.com
Scenario : Sarah Vaughn, Jonathan Luna
Dessin & couleurs : Jonathan Luna
Dépôt légal : 10/2016
Editeur : Delcourt
Genre : Science-Fiction
Scénario : Mike Moreci
Dessin : Tim Daniel
Couleurs : Colin Lorimer
Editeur : Ankama
Dépot légal : 11/2016
Pages : 208
Genre : Policier fantastique
Dessin : Jamie McKelvie
Scénario : Kieron Gillen
Editeur : Glénat
Planches : 133
Genre : étude sociologique-fantastique
Lire la suite « The wicked + the divine Tome 1. Faust départ »
Scénario : Marc Bernardin & Adam Freeman
Dessin / couleurs : Afua Richardson
Dépôt légal : 08/2016
Éditeur: Delcourt
Pages : 144
Scénario : François Miville-Deschênes & Sylvain Runberg
Dessin / couleurs : François Miville-Deschênes,
Dépot légal : 09/2016
Editeur : Le Lombard
Pages : 46
Genre : antic-fantaisy
Scénario / Couleurs: Richard Marazano
Dessin : Guilhem
Dépôt légal : 08/2016
Editeur : Le Lombard
Pages : 46
Genre : Aventure
« Pour leurs 70 ans, les éditions du Lombard renouent avec la grande aventure et la science-fiction, dans le plus pur esprit du journal de Tintin » Lire la suite « Les trois Fantômes de Tesla Tome 1. Le mystère Chtokavien »
Scénario / Dessin / couleurs : Ptiluc
Dépot légal : 06/2016
Editeur : EP Media
Planches : 120
Genre : Satyre sociale
« Les réseaux sociaux, Internet, l’ultra connectivité ont aussi transformé nos vies sentimentales ». Ni une ni deux, Ptiluc s’invite dans le débat et se penche sur les nouvelles pratiques amoureuses.
Ptiluc est connu pour sa production d’œuvres mi- sérieuses, mi- comiques. Il affectionne les thèmes sociologiques, anthropologiques voire philosophiques avec une bonne dose d’ironie. Sa vision libertaire sonne juste et atteint ses cibles. Je vous renvoie pour cela à l’excellente série « Rat’s » ou « La Geste de Gilles de Chin ». Mais pour atteindre le Graal, il vous faudra de la patience, de la persévérance. Ptiluc laisse beaucoup de place aux dialogues et à la réflexion. Les textes nombreux et introspectifs nécessitent une vraie attention. Atteindre Ptiluc, cela se mérite.
Les nouvelles pratiques amoureuses sont évidemment un sujet pour cet auteur. Il analyse cette « nouvelle économie de la rencontre amoureuse et libidinale ». En effet, « Le Net remplace le bal du village et les techniques marketing installent un univers marchand autour du sentiment amoureux ».
Tout y passe, les statistiques, les différents modes de rencontres, le matching, l’introspection du mental de l’homme et de la femme (forcement différent mais qui finalement se rejoint) devant un écran, le bestial comme le romantique, les motivations des connexions, les attentes, les pseudos très révélateurs des personnalités, la loi du marché….. Il décline les modes de gestion du processus d’approche : le plan baise, le prince et la princesse ou encore ceux qui papillonnent.
Bref, une véritable thèse illustrée sur le sujet. Et ….c’est là que le bât blesse. C’est trop ! Cela en devient indigeste. Avec Ptiluc, il y a un mode d’emploi : ne pas lire tout d’un coup mais bien chapitre par chapitre avec des pauses. Sinon, le découragement vous guette !
Rassurez-vous, c’est drôle et bien vu. Et vous (vous ?) reconnaitrez un proche ayant déjà tâté du Tinder® ou du Meetic®.
Les dessins de Ptiluc sont là pour agrémenter les réflexions de son créateur. Sans cases ni bordures, les personnages sont au centre du débat. Tout en rondeur, les représentations masculines ou féminines sont réalistes avec une touche caricaturale exprimant bien le désarroi devant cette mondialisation de l’amour. Du Ptiluc pur jus !
« Tu crois que la fin de l’amour, c’est comme la fin de l’éthique ; c’est proportionnel à la montée du cynisme marchand ? »
Les écrans deviennent omniprésents dans notre vie. Tout en côtoyant les modes de rencontre classique, ils changent résolument la donne. Saurons-nous dompter ces nouveaux modes de rencontre ? Ptiluc donnent des éléments de réponse avec son sens de l’humour qui lui est propre.
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Tigrevolant
Scénario : Jean-François Di Giorgio
Dessin : Cristina Mormile
Couleurs : Bertrand Denoulet
Dépot légal : 06/2016
Editeur : Soleil Productions
Pages : 46
Genre : aventure
Mandatées par Kurumi, fille du seigneur Hirotaka, les trois sœurs de l’ombre doivent retrouver son fiancé, Akiya. Mais le seigneur Aizen poursuit le même but et se retrouvera sur le chemin des terribles guerrières. Parallèlement, prisonnière dans la cité souterraine d’Akuma, la petite fille nommée « Sang sacré » échappe à ses bourreaux. Dotée de pouvoirs surnaturels, elle suit son propre destin….
Fidèle au fil directeur des précédents tomes, Jean-François Di Giorgio tisse un scénario à deux intrigues. D’un côté, les trois sœurs de l’ombre poursuivent leur chemin de rônin et vendent leurs talents de guerrières aux plus offrants. C’est le côté budo de la série dans tout son éclat. Combats de sabres et hémoglobine parsèment le chemin des très belliqueuses demoiselles. De l’autre, la route de « Sang sacré » est plus fantastique. Mais sa toute jeune vie est tout aussi jonchée de cadavres. Son sort n’est pas totalement dévoilé et la fin de l’album fini sur un bâton de sucette. Mais, avec les pouvoirs surnaturels de « Sang sacré » et l’imagination de Jean François Di Giorgio le champ des possibles est très vaste !
Le dessin est toujours de bonne facture. La multiplication des angles de vue et de très belles scènes d’action rendent la lecture fluide et agréable. Cependant, le coup de crayon est parfois inégal : un visage sur une même planche peut être grossier ou exprimé très fin. Cela choque et interroge ?! Enfin, on notera les beaux aplats de couleurs Bertrand Denoulet, lumineux et savamment dosés.
En général, je vois d’un mauvais œil les spin-off. Mais la, c’est encore une très belle rencontre. Aventure et fantastique se côtoient agréablement. Le lecteur appréciera le gros travail préparatoire des auteurs. Cela donne un ton crédible à l’histoire et restitue une ambiance très japonaise, très martiale. L’amateur de culture japonaise va se régaler. En tant que lecteur j’aurais juste un souhait : ne pas rendre cette série indigeste en multipliant les albums !
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Tigrevolant
Scénario : Xavier Dorison
Dessin / couleurs : Terry Dodson
Encrage : Rachel Dodson
Dépot légal : 06/2016
Editeur : Glénat
Collection : Grafica
Planches : 52
Genre : comédie d’espionnage
En pleine guerre froide, dans les cerveaux des apparatchiks russes germe une idée lumineuse : créer une « super-héroïne » à l’esprit bien rouge pour propager les valeurs du communisme au USA. Vera, agent du KGB à la plastique irréprochable, est désignée pour cette mission délicate. Apres avoir mis fin au agissement du « Charpentier », un serial-killer réactionnaire, Vera continue son intégration à la société Américaine. La nuit elle est l’héroïne ultime, le jour elle est Alabama Jane, reine du porno !
Difficile de passer à côté de cette série. Personne n’aura échappé à la couverture du tome 1, très trés aguicheuse. Il faut dire que le dessin est confié à une pointure dans la plastique féminine : Terry Dodson. Il a fait une première incursion dans la bande dessinée européenne avec la série Songes. Car Terry Dodson est un dessinateur de comics américain. Il est connu pour son travail sur des séries comme Harley Quinn, Trouble, Marvel Knights Spider-Man, Wonder Woman et Uncanny X-Men. Chaque fois, son très beau travail ne passe pas inaperçu et avec Red Skin, il déploie tout son savoir-faire avec en prime de belles scènes d’action. Par contre, est-ce le cahier des charges ou est-ce le puritanisme américain, mais dans les rendues des formes généreuses féminines vous ne verrez jamais poindre un téton ou une scène osée. Un comble pour une actrice porno ! Le tout est donc très sage et le dessinateur met une grande énergie à rechercher des cadrages chastes pour échapper au regard (forcément pervers) du lecteur Cela fini par fausser son travail. C’est, pour nous Européens, une source d’interrogations sans limite. A pleurer ou à rire….
Difficile aussi de ne pas passer à côté du nom du scénariste, Xavier Dorison. Il est inutile de faire sa biographie ! Ici, il a découpé le scénario en deux parties, le combat final contre le Charpentier dans la première et la recherche d’une respectabilité à travers son nouveau job diurne pour Vera, dans la deuxième. Le boulot de Vera, ses gaffes à répétition rentrent en contradiction complète avec l’American way of life. Cela permet à X Dorison d’en tirer des effets comiques. Malheureusement, cela ne fonctionne pas bien. Passée la surprise, le lecteur se lasse vite de ce petit jeu. Par ailleurs, la recherche de sexe à tout prix de la « super héroïne » devient franchement lassante. Les limites de la nymphomanie sont atteintes et n’apportent pas grand-chose à l’histoire….
Voici donc un album qui se démarque plus par son dessin que par son scénario. Les dessins de Dodson et la mise en couleur de madame Dodson donnent satisfaction. Mais ce plaisir est gâché par un scénario répétitif sans vraiment de consistance. Cela est peu concluant. Cette « fusion » franco-belge / comics est une bonne idée mais doit être revue en profondeur pour jouir d’une bonne cote.
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Tigrevolant
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