La question BD du dimanche (29).

Aujourd’hui, la question du dimanche va s’intéresser aux couleurs.
J’aurais aimé connaitre votre point de vue sur les BD en noir et blanc.

Et aussi quelle a été votre 1er BD en black and white ?

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17 commentaires sur “La question BD du dimanche (29).

  1. J’aime beaucoup parce qu’elles jouent les contrastes (forcément), et ,paradoxalement, apportent un certain relief.
    Je crois que ma première BD N/B était silence ou l’Almanach de Servais.

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  2. J’avoue que je ne suis pas trop BD noir et blanc. Ma première BD en noir et blanc était « Ici même » de Tardi.

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  3. Ma foi, le noir et blanc, c’est comme la couleur, bien utilisé, c’est génial. Désolé, mais sur cette question, je n’ai que des platitudes… ^^
    Et ma première œuvre, fût sans doute Noritaka Roi de la Baston, mon premier manga, quand j’étais gamin. C’est mon premier souvenir en tous cas.

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  4. Pas de problème avec les BD N&B d’autant que la technique est différente pour le dessinateur qui doit jouer avec les contrastes et les aplats noirs.
    Ça nécessite une grande maitrise d’encrage car la couleur n’est pas là pour « rattraper » le coup !
    Pour mes premières BD N&B, pas de souvenirs particuliers … probablement qu’après les lectures des petits formats de ma jeunesse (Akim, Blek ou Tartine …), j’ai dû attaquer les « Rubrique à Brac » au début des années 70 ! 😉

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  5. Pas de problème avec le N&B, et je l’apprécie même de plus en plus. Une planche est dessinée à l’origine en noir et blanc et je trouve que bien souvent la couleur qui y est posée ensuite « mange » le trait du dessinateur. D’ailleurs quand c’est le dessinateur qui fait lui même ses couleurs je trouve ça mieux.
    Quand on peut comparer une planche colorée et une planche N&B, y a pas photo, c’est toujours celle en noir et blanc que je trouve la plus belle.
    La technique du dessinateur est vraiment mise en valeur avec le noir et blanc.
    Les premiers album noir et blanc que j’ai lu sont les albums de Pratt, Tardi, et Comès.

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  6. En fait la BD que je lis en ce moment est en noir et blanc, enfin non en sépia plus exactement. Le mur de Pan. Ca reste du monochrome malgré tout. Au début ça fait bizarre et puis on s’y fait. Et puis quand l’histoire est bien, peu importe finalement 🙂

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  7. C’est vrai que mes premières Bds en noir et blanc, c’était des séries du genre de Gotlib (rubrique à brac, les dingodossiers,…)
    Mais la période d’or du noir et blanc fut l’arrivée du magazine « A suivre » de Casterman avec des séries mythiques du style « Ici même » de Tardi, »la fièvre d’urbicande » de Schuiten et Peters, « Silence » de Comes et bien d’autres…Période bénite avec de grands dessinateurs et surtout de grands scénarios…

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  8. Hello !Que de souvenirs en N&B :Tardi,RAB ou Pratt. EN fait je pense que c’est a ce moment que ce révèle le dessinateur, il n’a pas de coloriste derrière lui…..
    Mais je vois qu’on a eu tous les mêmes expériences NB en BD ! C’est curieux ?! Non !
    Celui qui a bien renouvelé le genre c’est Sensei Taniguchi. Le fait de mettre des couleurs a son œuvre n’est pas trop a son avantage.

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  9. personnellement, j’adore les Bd en N&B. Le dessinateur montre ainsi tout son talent. Je trouve que le dessin de beaucoup d’album qui sont parus en N&B et qui ont été colorisés par la suite perd de la force et de l’expression.
    ma première bd en N&B ? Je ne me souviens plus trop laquelle c’est…. La Balade de le mer salée de Hugo Pratt, peut-être ? sinon c’est du Gotlib, Tardi ou encore du Micheluzzi.

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  10. Ma première bd en noir et blanc… Ce devait être La bête de Christophe Chabouté ou un autre de Comès, je ne sais plus. En tout cas, j’aime bcp le noir et blanc!

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  11. Il est évident qu’un dessinateur qui sait que sa BD sera en N&B est obligé de s’appliquer un minimum car il sait que la couleur ne sera pas derrière pour masquer les défauts.
    Cependant je vous trouve sévères avec la couleur car dans 90% des cas elle « embellie » la planche et lui donne du relief, de l’ambiance qui flattent avantageusement le graphisme quelque fois approximatif.
    Et que dire de la couleur directe ! … alors bien sûr tout ça est relatif et dépend avant tout du talent de l’encrage ou du coloriste.
    Il est bien sûr évident qu’une BD prévue en N&B supportera plus difficilement de la mise en couleur inutile (technique complètement différente).
    Les Mangas beaucoup plus courants en N&B (raisons économiques ?) bénéficient d’un travail très important d’ateliers où les dessinateurs ne s’occupent que des dégradés de gris ou de rendus de matière grâce aux trames qui rendent leurs décors très réalistes (Taniguchi etc …).

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  12. Mes premières Bds en N&B, les petits formats, Akim, Captain Swing, Panache ….. Je préfère quand il y a de la couleur.

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  13. Personnellement c’était le Bol Maudit de Bilal que mon père avait dans sa bibliothèque.

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