Sortie : 01/10/2013
132 pages
Prix conseillé : 7,90 € (France) – 8,50€ (Belgique-Dom-Lux-Port.- merci la tabelle !)
Magazine, Hors série, Erotisme, pin-up
Sortie : 01/10/2013
132 pages
Prix conseillé : 7,90 € (France) – 8,50€ (Belgique-Dom-Lux-Port.- merci la tabelle !)
Magazine, Hors série, Erotisme, pin-up
Auteurs :Jigounov/Lamquet.
Editeur : Le Lombard.
Sortie : 08/2013
Chasse à l’homme.
Accusé de trahison par la CIA, Alpha est en fuite. Comment prouver son innocence quand on est traqué par tous les agents secrets du pays ? Et, surtout, Alpha est-il aussi innocent qu’il le prétend ?
Le choc psychologique.
La BD, c’est un peu comme le football, il y a aussi des transferts chez les auteurs dessinateurs. Les montants restent secrets mais on suppose que Jigounov avec son affiliation au club du Réal XIII ne doit pas être perdant. Surtout qu’il garde la partie tactique de sa série. Pour remplacer le dessinateur russe à l’atlético Alpha, c’est un diable rouge Chris Lamquet qui reprend le poste. Pour son 1er match, on l’a senti très motivé pour coller au plus proche du style hyper réaliste du club. Une bonne prestation pour une première dans son style personnel .Par contre, on ne peut pas dire qu’il a été bien servi par la tactique mise en place. Un scénario assez basique jouant sur la chasse du ballon .Résultat du match, beaucoup d’occasions mais aucun but, on n’a pas progressé d’une place au classement. Croisons les doigts pour voir des solutions pour le match retour de ce triptyque. A la place du président Lombard, je miserais plus sur un Zlatan que sur un James Bond de pacotille. Bref, il y a encore du travail pour éviter un style de jeu convenu et manquant d’émotion. On parle déjà d’un célèbre entraîneur portugais pour reprendre la partie tactique mais là, ce n’est que pure supposition.
Dessin
Scénario
Global.
Samba.
On en parle dans le stade.
Inscrivez-vous au match.
Dessin & scénario : Mari Yamazaki
Editions Sakka
Manga seinen
Sortie : 30/10/2013
194 pages
Prix conseillé : 7,50 €
ISBN : 9782203062078
Rome, thermes, antiquité, Histoire, roman, manga.
Résumé (de l’éditeur): Satsuki n’arrive pas à oublier Lucius qui s’est subitement volatilisé sous ses yeux…Elle se lance sur ses traces et décide d’entreprendre des fouilles archéologiques à Baïes, dans l’espoir d’y exhumer un indice qui lui permettrait de se rapprocher de Lucius à travers le temps…
Mon avis : Le tome 6 de la série se faisait quelque peu attendre. Voilà qu’il arrive de chez Casterman alors que je ne m’y attendais plus. De plus, la fiche se rapportant à l’album comporte un visuel de la couverture appelé « visuel provisoire » qui n’est pas celui de la couverture définitive ! En parcourant rapidement le livre, je constate qu’il s’agit du 6e et dernier tome de la série.
Satsuki est tombée amoureuse de son romain, Lucius, qui fait des allées et retours entre l’époque romaine et l’époque actuelle au Japon. Elle décide de faire des fouilles à Baïes, l’endroit présumé des derniers travaux de Lucius. Entretemps, le père de Satsuki, par un heureux hasard, se retrouve lui aussi dans la Rome antique et découvre les bains de l’époque…Il part à la recherche de Lucius également.
C’est toujours aussi bien amené même si le procédé employé relève de la machine à remonter le temps…C’est une magnifique description des thermes pendant la période d’Hadrien. Le dessin est toujours de bonne facture et le scénario reste agréable à découvrir au fil de la lecture.
Chaque chapitre est entrecoupé par des notes de l’auteur sur sa vie de mangaka, le développement de la série à l’étranger, à la télévision et au cinéma, etc…On peut y trouver une justification sur le retard pris par le dernier tome. On y apprend également que la série se terminera avec ce tome 6. Je pense qu’il s’agit d’une bonne décision, que l’auteur a fait le tour du sujet. L’histoire en elle-même se termine sur un « happy end » que je vous laisse découvrir…L’auteur déclare également qu’il y aura d’autres séries par la suite qui parleront des autres personnages rencontrés tout au long de ses 6 tomes.
En conclusion, Thermae Romae est une bonne petite série atypique qui nous parle des thermes sous le règne d’Hadrien. L’auteur a eu le bon goût de ne pas trop allonger la sauce. Cela nous donne un sujet bien traité et très agréable à lire.
Voulez-vous gagner cet album et vous plonger dans l’univers d’un manga consacré aux bains et thermes pendant l’époque romaine de l’empereur Hadrien ? Pour le remporter, il suffit de mettre un commentaire sur le blog en fin de chronique jusqu’au samedi 9 novembre 2013 inclus. Un tirage au sort sera fait par la main toujours impartiale et innocente de Samba !
Graphisme : 7.0/10
Scénario : 8.0/10
Moyenne : 7.5/10
Capitol.
Scénario : Brian K. Vaughan
Dessin : Tony Harris
Dépot légal : 10/2013
Editeur : Urban Comics
ISBN : 978-2-365-77263-1
Planches : 288
Les enfants de la liberté est le septième roman à succès de MARC LEVY; le livre raconte l’histoire du père et de l’oncle de l’auteur, résistants juifs français sous l’occupation.
En voici la superbe adaptation en bandes dessinées, mise en images par ALAIN GRAND d’après un scénario du même MARC LEVY.
Nous assistons à l’aventure de Claude et son frère Raymond engagés dans la brigade Marcel Langer, groupe résistant de Toulouse. Nous connaîtrons ainsi ce groupe, la 35e brigade, formé d’hommes et femmes de toutes nationalités, émigrés italiens, roumains, espagnols, portugais, hongrois…..
La résistance s’annonce doucement au début, ces jeunes n’ont pas d’armes, beaucoup dont les deux frères, sont encore adolescents, puis va prendre de l’ampleur jusqu’au drame de ces jeunesses emportées dans la tourmente de l’histoire.
S’il est presque amusant de voir Raymond hésiter à abattre un officier allemand qu’il a suivi dans les rues, tant qu’il n’a pas fini d’uriner, ou l’action du groupe, forcé d’aller voler des armes stockées par la résistance en attente du débarquement, nous sommes vite consternés par les événements. L’exécution de Marcel Langer après avoir été torturé, les actes barbares de la milice française dépassant largement ceux de l’occupant. Ainsi nous assistons à la collaboration zélée des préfets, chef de la milice, chef de la prison. Certains seront exécutés par nos héros, d’autres seront promus après la guerre et échapperont à la justice.
L’émotion va crescendo au fur et à mesure que nous assistons à l’enlisement des protagonistes dans l’horreur de la guerre. Peu à peu tous les membres de la brigade seront arrêtés ou tués.
Les derniers seront déportés dans ces trains de prisonniers, filant vers l’Allemagne et les camps d’extermination. Nos héros seront dans le tristement fameux « train fantôme », dernier convoi de déportation, qui, sous les ordres d’un officier fanatique, tentera par tous les moyens d’arriver en Allemagne.
Les enfants de la liberté est une histoire vraie, poignante qui montre jusqu’où peuvent aller des hommes et des femmes combattant pour être libres et sortir du joug dans lequel veulent, d’autres hommes, les maintenir.
Un album qui plaira à tous et permettra que la jeunesse apprenne grâce à la bande dessinée ce qu’une autre jeunesse a accompli pour que nous soyons libres et vivants maintenant.
LES ENFANTS DE LA LIBERTE MA NOTE:
MARC LEVY et ALAIN GRAND SCENARIO ET DESSIN : 9/10
CASTERMAN SEPTEMBRE 2013 JR
Voici le tome 4 de cette passionnante histoire qui donne un ton nouveau au mythe du vampire. Les auteurs SCOOT SNYDER au scénario et RAFAEL ALBUQUERQUE et JORDI BERNET au dessin poursuivent la chronique du vampire américain SKINNER SWEET et continuent à mettre en fond de récit l’histoire de l’Amérique.
Cette fois ci Sweet est un peu le lien servant à présenter de nouveaux personnages. L’album comporte trois chapitres : le premier nous révèle un peu plus sur la jeunesse de Sweet, orphelin de la guerre civile américaine, recueilli par des fermiers voisins, il va montrer déjà son amoralité et sa ténacité à vaincre dans la vie sans se préoccuper des règles. Engagé dans l’armée américaine avec son frère James Book ( fils de ses parents adoptifs ), il va montrer son habilité au combat et son manque de scrupules face aux indiens que l’armée poursuit. Dans ce récit nous apprendrons que Sweet n’est pas le premier vampire américain, une indienne Shoshone fut contaminée par des vampires européens avant lui…..
le deuxième récit nous présente TRAVIS KIDD, un jeune rocker de 19 ans qui, aidé par l’organisation de LINDEN HOBBES, « les vassaux de Vénus », chasse le vampires et veut se venger du responsable de la mort de ses parents, devinez qui ? Skinner Sweet.
Le dernier chapitre est consacré à Calvin, autre agent de Hobbes, il se trouve dans une ville D’Alabama pour assister à un concert donné par un groupe de jeunes noirs. Mais la ville est tenue par 3 vétérans de l’armée, racistes et vampires de surcroît, qui font venir des groupes de noirs pour les dévorer une fois le concert donné. Mais Calvin a deux atouts dans sa manche, il est noir et vampire lui aussi!
La fin nous donne à suivre le tome 5 car Calvin va être contacté par Pearl, la deuxième vampire américaine dont nous avons fait la connaissance dans les précédents tomes, elle aussi agent de Hobbes, qui va lui demander son aide………………….
Cet album plaira aux amateurs d’histoires de vampires, aux passionnés de l’Amérique, aux nostalgiques du Rock n’ Roll des années cinquante et à tous ceux qui aiment les bons comics qui sortent des sempiternelles aventures de super héros en collants.
AMERICAN VAMPIRE TOME 4 – COURSE CONTRE LA MORT
SCOTT SNYDER – RAFAEL ALBUQUERQUE – JORDI BERNET
URBAN COMICS – VERTIGO CLASSIQUES – OCTOBRE 2013
ma note: HISTOIRE : 8/10
DESSIN : 7/10
JR
Dessin : Daniel Koller – Scénario : Stephen Desberg
Editions Le Lombard
Troisième vague
Sortie : 20/09/2013
48 pages
Prix conseillé : 12,00 €
ISBN : 9782803632299
Aventure, polar, Thriller, Football.
Résumé (de l’éditeur): La coupe du monde de football approche. L’événement aiguise les appétits financiers de mystérieux hommes de l’ombre. Des joueurs et des dirigeants de la FIFA sont soudoyés… Ceux qui refusent de céder sont éliminés. Face à l’ampleur du complot, Larry Max a besoin d’alliés. Il réunit autour de lui une équipe d’experts redoutables : l’inquiétante Laroya, sa collègue Mia Maï, ainsi que les agents Jared Gail et Scarlett Cossler, tout droit sortis des pages d’ « Empire USA ».
Mon avis : Je vous rappelle qu’il s’agit d’une série spin-off de I.R.$., basée sur les turpitudes du monde du football international. Stephen Desberg en est le scénariste mais les dessinateurs changent au fil des tomes car 4 tomes en tout doivent sortir d’ici le début de la coupe du monde au Brésil. Il faut donc travailler vite et c’est là que cela se gâte ! On avait déjà eu une mauvaise surprise avec la série « I.R.S. – All watcher » avec un tome véritablement « cochonné ».Ici, je crains fort qu’il faille aussi déchanter…Koller est au dessin pour ce deuxième tome et cela ne passe pas comme une lettre à la poste. J’ai déjà eu du mal pour reconnaître certains personnages qui se ressemblent furieusement. En plus, je trouve que Larry Max, le héros principal d’I.R.$., est juste esquissé. Bref, c’est très mal parti ! Ce dessin qui ressemble à un rough un peu dégrossi m’a vraiment déstabilisé. Beaucoup d’aplats noirs pour cacher les imperfections du dessin. Du coup, la couleur me semble par moment hasardeuse. Elle essaye probablement de rattraper le dessin. J’ai eu l’impression d’être dans un chantier.
Ca se corse en plus au niveau du scénario dans les trois premières planches…Je n’ai pas trop compris la ligne du temps, la succession de certaines cases. Qui fait quoi, où et quand ? Etrange…Heureusement, passé ces premières planches, je suis retombé sur le fil de l’histoire et sur mes pattes.
Franchement, ce deuxième tome donne l’impression d’avoir été bâclé. Vite fait, mal fait…N’est-il pas possible d’avoir un semblant d’unité graphique minimale dans une série ? Mission impossible ? Quand on fait ce métier, on soigne sa copie ou on passe son tour…Dommage, grosse déception.
Graphisme : 5.0/10
Scénario : 6.0/10
Moyenne : 5.5/10 (et je suis gentil)
Capitol.
Editeur :Glénat.
Sortie : 09/2013
Curiosité.
Louis Rockwell est maquettiste pour le quotidien de la ville de Memphis, Tennessee. Alors qu’il retrouve par hasard son ex-fiancée, celle-ci ne le reconnaît pas. Il découvre qu’elle vit en fait dans une vaste résidence où les habitants mènent une existence végétative. Roosevelt, un collègue de Louis très adepte de la théorie du complot, a lui aussi remarqué d’étranges phénomènes en ville. Les deux hommes se rendent progressivement compte que la ville semble être coupée du monde depuis les années 60.
Expérience.
Les auteurs de Frontière et du Village nous reviennent avec un bon thriller fantastique : Memphis. Je vous rassure, on ne chasse pas l’Elvis Presley et encore moins l’Eddy Mitchell mais on y rencontre bien d’étranges phénomènes. L’histoire m’a fait penser au film « Dark City » vu l’énorme manipulation qui semble se jouer dans cette ville au bord du Mississippi. L’atmosphère est prenante voir inquiétante. Il faut reconnaître que pour poser ce genre de mystère, Rodolphe est fortiche. Dommage que ses explications ne soient pas toujours du même acabit .Le dessin de Marchal semble s’affranchir de plus en plus du style « Léo » et devient nettement plus personnel. A noter aussi, une belle fluidité de lecture.
Un début de diptyque que les amoureux d’étrangeté savoureront avec plaisir.
Vivement la suite comme dirait Léo dans la préface…c’est qu’il a raison en plus.
Dessin.
Scénario
Global.
Samba.
On en parle dans le Tennessee
Dgege : Vous devriez essayer … c’est de la bonne !
(… l’herbe, bien sur !)
Inscrivez-vous au journal du blues.
Metal Maniax 1 et 2
Tome 1 : Bières, gags et gros son
Tome 2 : Bières, Amours & Metal
Lève toi et thrash !!!!!!!!!!!!!!!!
@Hergé/Moulinsart 2013
En route…pour de nouvelles aventures! SambaBD a été invité à la conférence de presse qui s’est tenue ce mercredi 23 octobre 2013 au musée Hergé situé à Louvain-la-Neuve en Belgique.
Le festival Europalia est un festival d’arts internationaux qui a lieu à Bruxelles et en Belgique tous les deux ans. Cette année, elle est consacrée à l’Inde et propose un programme varié composé de 26 expositions, 92 concerts, 56 spectacles, 200 événements littéraires, cinéma et conférences.
Dans le cadre de cette manifestation, le musée Hergé s’est associé au programme et propose une exposition du 26 octobre 2013 au 26 janvier 2014, intitulée « Allo Bruxelles ? Ici Rawhajpoutalah ! » Ce titre est inspiré de la couverture du journal « Le petit vingtième » n°10, paru le jeudi 8 mars 1934.
L’exposition prend le pari de nous faire connaître l’Inde via l’œuvre d’Hergé et plus particulièrement l’album « Les cigares du Pharaon ». Le visiteur pourra y voir les planches originales, dessinées entre 1932 et 1934, misent en parallèle avec la version revisitée des planches en couleurs de 1954 mais aussi avec l’abondante documentation qu’Hergé avait accumulée sur les différents sujets abordés par le récit. Nous ne sommes plus au temps des premiers albums à la documentation fort limitée.
L’évolution graphique y est remarquable. Le dessin de 1934 supporte sans problème l’agrandissement dans les grands formats de l’exposition. C’est une preuve que le dessin était déjà épuré. A la vue du travail de 1954, cette tendance est encore plus visible avec le trait qui se simplifie de plus en plus tout en restant net et détaillé dans l’image qu’il veut transmettre au lecteur.
@Hergé/Moulinsart 2013
On y retrouve déjà des thèmes qu’Hergé aime traiter tels que la spiritualité, les dieux, l’homme et son environnement, sa coexistence avec la nature, les animaux. Il traite également de l’imaginaire occidental sur des phénomènes indiens tels que les Sadhus ou fakirs, avec les planches à clous, la lévitation et les charmeurs de serpents.
Le visiteur y verra également décrit les rues de New Delhi, avec le bruit, la circulation, la foule qui bouge, les odeurs,…Hergé a très bien rendu cet environnement à tel point que Tintin a eu du succès en Inde, traduit de l’hindi au tamoul en passant par le bengali ou encore le gujariti. Du signe de Kih-Oskh au Svastika porte-bonheur, l’exposition nous explique la symbolique qui est aussi un des fils conducteur de l’album.
Je ne peux que vous inciter à faire le déplacement pour visiter cette exposition très réussie qui mêle l’imaginaire de Tintin avec des objets d’art indiens dont certains ont été dessinés dans l’album de référence.
Vous pourrez en profiter pour visiter l’ensemble du musée Hergé avec ses expositions permanentes. Il a été dessiné par l’architecte français Christian de Portzamparc (un nom digne d’un personnage de bande dessinée !).Il s’agit d’un bâtiment de près de 3600m² qui attire directement l’œil vu de l’extérieur. Dès que vous rentrez à l’intérieur du bâtiment, le choc visuel continue. Les murs ne sont pas tous droit, des grandes baies vitrées laissent entrer la lumière dans le patio d’entrée. Et pourtant le musée a été conçu comme une bande dessinée. L’architecte a également tenu compte de l’environnement naturel mais aussi des impératifs d’un musée où la lumière ne doit pas abîmer les œuvres. Il a donc joué avec la lumière mais aussi avec les couleurs. Certains ont parlé d’un navire amarré à la dalle de la ville de Louvain-la-Neuve. L’image est pertinente surtout quand vous traversez la jetée qui relie la ville au musée. Le visiteur a l’impression de monter dans un navire en partance pour un voyage imaginaire.
@Atelier de Portzampac 2013 -@ photo Nicolas Borel – @Hergé/Moulinsart 2013
Un seul bémol : je me suis rendu à Louvain-la-Neuve en voiture et j’ai remarqué que la signalétique routière est inexistante. Pas de panneaux pour diriger les visiteurs vers le musée que ce soit sur l’autoroute à proximité ou sur les voies d’accès à Louvain-la-Neuve. Les parkings proches du musée sont mal indiqués. Il en est de même dans les rues de la ville. Cerise sur le gâteau, l’adresse du musée est rue du Labrador, 26 (belle référence à l’adresse de Tintin). Mon GPS n’a pas encore cette rue dans son répertoire… Comment un tel écrin, un tel musée peut-il être aussi mal indiqué ?
@Atelier de Portzampac 2013 -@ photo Nicolas Borel – @Hergé/Moulinsart 2013
@Hergé/Moulinsart 2013
Si vous n’avez pas l’occasion de visiter le musée Hergé, ou en complément à la visite, vous pourrez lire un nouvel ouvrage qui vient de sortir aux Editions de La Martinière, intitulé « Musée Hergé ». Il s’agit d’une « brique » de 480 pages, d’un format de 21X21 cm. Cet album est conçu comme un musée de papier. Le lecteur le visite comme il visiterait le véritable Musée Hergé. On peut y voir toute l’œuvre d’Hergé. Cela va des dessins originaux aux notes, carnets, coloriages, documentation, objets qui remettent le visiteur dans le monde unique d’Hergé. L’album parait en 6 langues, est tiré à près de 30.000 exemplaires. Il est vendu au prix de 39,00€ (ISBN 9782732457079). N’ayant pu le consulter, je vous renvoie à votre libraire attitré car il est déjà disponible.
Capitol.
Liens utiles :
Le programme d’Europalia India : www.europalia.eu
Le site du Musée Hergé : www.museeherge.com.
Ce w-e nous passons à l’heure d’hiver… Voici un petit mnémotechnique façon Sumoups
pour savoir si on recule ou on avance les montres d’1 heure
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