La théorie du grain de sable.Tome2.

dyn008_original_400_575_jpeg_2551150_7646a21d1594f9c8c1f55b74fa2f24cadyn008_original_755_530_jpeg_2551150_185323c84c4636e291670af352ac783bAuteurs : Schuiten et Peeters
Editeur :Casterman
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Le résumé.
« Brüsel, 21 juillet 784. Constant Abeels répertorie avec patience les pierres qui se matérialisent mystérieusement dans les
différentes pièces de son appartement. Toutes pèsent exactement le même poids : 6793 grammes – un nombre premier… Dans un
immeuble voisin, une mère de famille constate, de la même manière, que du sable s’accumule avec régularité dans son appartement, à la
grande joie de ses enfants, tandis qu’un peu plus loin, le patron et chef cuisinier de la célèbre brasserie Maurice découvre qu’il perd du
poids, sans maigrir pour autant… Et ces étranges phénomènes ne font que s’accentuer à mesure que passent les jours. C’est pour
enquêter sur ces faits insolites qu’une femme arrive spécialement de Pâhry : Mary Von Rathen, celle qu’on a autrefois surnommée
« l’enfant penchée ».
Mon avis.
Voilà bien un exercice difficile, décortiquer un album des cites obscures. Car, avec les BD de Schuiten et Peeters , on touche un niveau supérieur, on appréhende l’art avec un grand A. Votre ressenti face à cette « théorie »  ne pourra qu’être personnel comme devant tout art. Pour ma part, j’y ai vu sous ce halo de l’étrangeté des événements, une invitation à la philosophie, à accepter nos antagonismes, à voir plus loin que notre quotidien, à humaniste.
Tout ça est bien sûr caché derrière la symbolique de l’histoire comme un message subliminal .Vous trouverez certainement  d’autres interprétations à faire tellement cette BD est une invitation à la réflexion. Mais c’est surtout un bon moment d’évasion dans ce monde si particulier où l’étrangeté est la normale. J’ai un peu regretté le rôle un peu fade de Mary, j’aurais aimé un peu plus de niaque de sa part, elle est un peu comme le lecteur, elle suit les déséquilibres, enfin pour Mary la penchée, c’est une évidence.
Au final, un grain de sable qui grippe nos consciences, et c’est tant mieux.
surprises.smileysmiley.com.8

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XIII mystery – La Mangouste

xiiimystery01_78525xiiimystery01p_78525Dessin :Ralph Meyer – Scénario : Xavier Dorison

Résumé : Cet album raconte l’enfance et le cheminement de La Mangouste, l’ennemi numéro un de XIII. Son histoire débute au lendemain de la dernière guerre mondiale dans le secteur russe de Berlin…

Mon avis :  Je rassure de suite tous les fans de la série et les autres…Oui , c’est un bon album de bande dessinée bien balancé surtout au niveau du scénario, ce qui rend l’opus crédible. Le dessin de Ralph Meyer est égal à lui-même, mais bien différent dans le cadre de la série XIII et de la patte inégalée de William Vance. Nul n’est parfait mais on s’y fait très vite. Pour ceux qui restent sceptiques devant la démarche commerciale, je leur dirais que j’ai passé un bon moment de lecture et que cet épisode ne dépareille pas du tout par rapport à certains autres albums de la série. C’est vrai que cet album n’est pas du tout indispensable dans la compréhension de la série mais il donne un autre éclairage sur un acteur essentiel de l’histoire. La Mangouste y acquiert peut –être une image plus humaine, un début de réponse à l’existence d’une personnalité très noire…Mais quoiqu’il en soit, quelque soit l’histoire racontée par le scénariste, La Mangouste reste une franche crapule…

Score : 7,5/10.

Capitol.

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Les schtroumpfeurs de flûte

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Scénario : Luc Parthoens et Thierry Culliford-Dessin : Jeroen De Coninck.

Résumé : Le sorcier Aldéric fait appel au Grand Schtroumpf et lui demande de lui schtroumpfer une flûte enchantée pour guérir un de ses patients atteint de « langueur monotone »…Le Grand Schtroumpfs fait fabriquer la flûte et s’en va aider son amis…

Mon avis : A l’ occasion des 50 ans d’existence des Schtroumpfs, le studio Peyo, repris de main de maître par les enfants et les collaborateurs de Peyo, sort cet album « hors série » à tirage limité de 50.000 exemplaires. Un tirage qui réjouirait beaucoup de collègues, mais bon, on ne prête qu’aux riches…Cette histoire est en réalité l’épisode qui précède le livre de Johan et Pirlouit intitulé « la flûte à six schtroumpfs ».Classique parmi les classiques. Elle raconte les prémisses de cette délicieuse histoire qui ressort d’ailleurs pour l’occasion en librairie. Le dessin est parfait, l’élève égale le Maître, il n’y a strictement rien à redire. En ce qui concerne le scénario, celui-ci est également à la hauteur et perpétue le savoir faire de Peyo qui était un grand raconteur. La mondialisation des schtroumpfs avaient détourné Peyo quelque peu de son métier premier, dépassé par le succès de ses créations .La production des bandes dessinées en avait un peu pâti. Sous l’impulsion de son fils et depuis de nombreuses années déjà, on a vu une nouvelle vigueur et un renouvellement dans les scénarios qui font chaud au cœur. Pour les petits ou pour les grands, le plaisir de la lecture reste le même. Un excellent livre, bien torché, sans prétention…Que du bonheur. ! En résumé, un héritage en de bonnes mains et très bien géré…
Ma cote : 8/10

Capitol.

Empire USA, Tome 1.

EmpireUsa1_02102008_21472620080728150239_t1Auteurs :Griffo et Desberg.
Editeur : Dargaud.

Le résumé.
La secte terroriste des Hashashins s’apprête à lancer une attaque chimique sur le sol américain, et un cycle infernal qui entraînerait l’annulation des élections présidentielles, des révisions de la constitution et la restriction des libertés. Un seul homme serait capable de déjouer cet attentat et d’enrayer ses horribles conséquences : Jared Gail. Mais Jared Gail tient un pistolet braqué sur sa tempe, prêt à mettre fin à ses jours !  

Mon avis.
Empire USA  nous est arrivé avec une grosse campagne de promotion .Il faut dire que le challenge est attrayant, 6 albums en 4 mois seulement, c’est quasi un record. Mais voilà, quand on fait sonner trop de trompettes, moi je deviens méfiant  et j’ai attendu que l’on me passe les 2 premiers tomes pour me faire un avis. Le début est intéressant, la vision future de USA est  à découvrir, la jeunesse du personnage principale est  agréable et puis…..bardaf…j’ai complètement décroché .Déjà l’autre qui parle comme Yoda m’a spécialement énervé mais c’est qu’un détail, les dialogues m’ont carrément endormi. Et plus, le scénariste à l’art de passer du coq à l’âne en 2 cases. Je reconnais que c’est le genre d’histoire que j’apprécie guère, Largo Winch et IR$ sont loin d’être des référence pour moi. Bref, je n’ai vraiment pas le courage de lire le tome 2. La BD, j’aime quand elle me permet de m’évader, là, elle me scotche au présent  et ça m’ennuie. J’ai au moins aimé le dessin de Griffo malgré que je l’apprécie plus dans un contexte non contemporain.
Une BD qui ne case par la baraque d’Obama.
surprises.smileysmiley.com.4

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Sept, Yakuzas.

Sept6_26092008_103421Albsept6_26092008_103421Auteurs : Morvan et Hikaru.
Editeur : Delcourt

le résumé.
Tokyo, de nos jours. Kotobuki Ichiro, 92 ans, chef d’un clan yakuza craint et respecté, fait l’objet d’une tentative de meurtre lors de la grande fête populaire. Le vieil homme ne doit la vie sauve qu’au sacrifice de sa garde rapprochée et à son étonnante vivacité. Recueilli par un ancien ami, Ichiro prépare une vengeance dans laquelle il entraînera six hommes, pour un effroyable ballet de mort et de sang…

Mon avis.
Et bien justement, je n’en ai pas d’avis sur ces sept yakuzas.
Je passe le témoin à l’équipe pour nous décrire cet album très « unforgiven » rempli de stéréotypes.
surprises.smileysmiley.com.6

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Dantes – tome 2 : Six années en enfer

Dantes2_19092008_204849dantes02_77936Synopsis:
Paris, de nos jours. Une soirée de gala est organisée, réunissant tout le gratin de la finance. Parmi les invités, un certain Christopher Dantès qui a fait fortune mais dont personne ne connaît vraiment le passé. Et pour cause.
Un polar financier qui raconte la vengeance implacable d’un homme victime d’une machination.

Second volume très attendu de cette série qui met en scène la chute d’un trader, Alexandre, durant les années 80. Les charges qui pèsent contre lui s’accumulent et le procès le condamne à de longues années en prison. Pourtant les vrais coupables restent en liberté : le monde de la finance est plus impitoyable que jamais… Mais Alexandre prépare son évasion grâce à la complicité d’un génie de l’informatique…

Mon avis:
J’avais acheté le premier tome simplement car à l’époque je travaillais dans le monde de la finance. Ma boîte avait sponsorisé la sortie de ce tome. J’avais donc acheté les yeux plus ou moins fermés. A la sortie de ce second tome qui clôt le premier cycle, j’ai bien entendu relu la première partie. Le premier tome est vraiment lié au monde de la finance, des bourses,… le deuxième tome quand à lui amène tout doucement l’intrigue. Un retournement spectaculaire de situation donne vraiment envie de lire la suite. Autant je n’étais pas particulièrement enthousiaste après la lecture du premier tome (juste satisfait), autant le deuxième relance l’histoire d’une manière spectaculaire. C’est vraiment bien amené et personnellement je ne l’ai pas du tout vu venir. A suivre donc.
La note : 8/10

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Algernon Woodcock, tomes 1 à 4

L’histoire (scénario : Mathieu Gallié, dessin et couleurs : Guillaume Sorel)

Ecosse, XIXe siècle. Diplômé de médecine, mais peu pressé d’exercer, Algernon Woodcock accompagne son ami et confrère, William McKennan, à son premier poste, persuadé que ce qui s’y passera aura pour lui valeur d’exemple. Les voici donc en Novembre à Oban, port de pêche d’Ecosse, pays des chapelles votives et des guérisseuses. Son ami effectuant sa tournée, Algernon doit un jour le remplacer et accoucher Izora Penduick. Cette femme, toujours voilée dont personne n’a vu le visage, va déclencher une série d’événements qui va bouleverser la vie des deux amis. Quelle est cette pierre qu’a remise la vieille borgne à Algernon, que cache Izora Penduick ?

Cycle 1 :
AlgernonWoodcock01AlgernonWoodcock02L’avis de Gnès

Que de mystères bien menés pour cette série noire et à la fois magique.
J’ai beaucoup aimé cette BD en 2 cycles, même si parfois je me suis sentie perdue par tant de mystères. C’est mieux de les lire tous à la suite je pense.
Mais ça nous permet de faire plein d’hypothèses, ça fait travailler les méninges. Et puis tout est bien ficelé et démêlé à la fin du second cycle.

Enfin, même si tout est démêlé, d’autres interrogations viennent à l’esprit à la fermeture du tome 4.

Cycle 2 :

AlgernonWoodcock03AlgernonWoodcock04

Pour conclure
Avec des animaux qui parlent, cette BD ne pouvait que me plaire 😉
Une astuce sympa pour faciliter la lecture de la BD : les bulles sont de différentes couleurs en fonction du personnage qui parle, j’ai trouvé ça bien.

Il faut que je lise le tome 5 maintenant, mais ils ne l’ont pas à la bibliothèque, dommage !! 😉


Ma note
9/10

Gaijin,les derniers feux de l’été.

Gaijin2_28082008_232514gaijin2_plaAuteurs :Blengino et Gallo.
Editeur :Delcourt.


Le résumé.
Tokyo est en proie à la folie d’un pyromane : le Phénix (Hi-no-tori). Ce « vengeur » semble cibler les jageya, des yakuzas spécialisés dans la recherche de terrains constructibles. Le clan Higarashi n’hésitant pas à accuser le clan Shiratori d’être à l’origine de ces attaques, une nouvelle guerre est sur le point d’éclater entre les quatre grandes familles. Une guerre qu’un seul homme peut empêcher : Alex Otoishi, le Gaijin.

Mon avis.
On ne peut pas dire que cette série déchaine les foules sur le net. Un peu dommage car cette BD mérite qu’on s’y attarde un peu plus au lieu de partir au galop. Un album assez semblable au premier du point vue de sa structure et de son déroulement. Vous y trouverez toujours un brin de violence, de l’honneur et plein de bagarre. On commence aussi à mieux connaître les personnages et ils prennent d’ailleurs plus d’envergure .Pour le dessin au début du tome, je me suis fait la réflexion qu’on trouvait plus des tronches d’américains que d’asiatiques, pour un histoire qui se déroule à Tokyo, c’est un peu étonnant. Sinon les précisions des décors urbains vous feront vite oublier les petites anomalies physiques rencontrées de temps en temps.
Au final, une BD qui se lit facilement, divertissante et qui s’adresse à un public aimant la pétarade et l’univers japonais.
surprises.smileysmiley.com.7
On n’en parle pas sur le forum sauf si vous venez y creer le sujet.

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Mattéo,Première époque (1914-1915)

matteomatteop_78761Auteur :Gibrat.
Editeur :Futuropolis.

Le résumé.
Près de Collioure, tout appartient aux de Brignac : « les vignes, les maisons, les gens, enfin leur travail ». Mattéo et son ami Paulin « en savaient quelque chose, ils y bossaient, et dur encore ! Le pressoir n’était pas que dans les chaix ». Quant à Juliette, l’amour de Mattéo, recueillie par les de Brignac à l’âge de trois ans, elle est considérée par « eux » comme un membre de la famille. Mattéo, qui « n’avait pas envie d’être charitable » pensait qu’elle « faisait juste partie des meubles ».
En août 1914, quand éclate la guerre, cette « saleté de chien d’aveugle qui nous tirait dans la merde et bouffait nos gosses », le destin de Mattéo bascule. Fils d’un anarchiste espagnol, disparu à jamais en mer, Mattéo, parce qu’il est étranger, échappe à la mobilisation générale.
Première contradiction : alors que son ami Paulin et les garçons de son âge partent à la guerre en braillant, le jeune homme, élevé par sa mère au biberon du pacifisme, ressent confusément la honte de rester à l’arrière, avec les femmes et les vieux.
Paradoxe encore, plus insupportable celui-ci, Mattéo côtoie quotidiennement Juliette, quand celle-ci tremble pour Guillaume de Brignac, engagé dans l’aviation.
Absurdité toujours : quand, taraudé par le remords de n’être pas au front aux côtés de son ami, et meurtri par la belle indifférence de sa Juliette, Mattéo se décide enfin à rejoindre les tranchées, Paulin, lui, est définitivement renvoyé dans ses foyers…

Mon avis.
Tous aux abris, voilà le nouveau Gibrat. Je plaisante bien sûr car cette BD était attendue ardemment par les amateurs de BD car JPG est devenu une référence depuis son « sursis ».On se dit en voyant le contexte et l’amourette au début du tome, que l’auteur allait faire du « Gibrat ». Mais, en sortant nos jumelles, on s’aperçoit que le dessin est plus direct, plus crayonné,  avec aussi une recherche pour des nouveaux visages. Il évolue en somme  comme Mattéo au fil de l’album. Normal, à force de recevoir des coups, des obus, des claques, on n’en sort pas indemne moralement. Je me suis dit à la fin de ma lecture, voilà bien une histoire que je vais retenir longtemps, elle ne disparaitra pas de ma mémoire en un coup de fusée éclairante. Car ce récit est poignant, terriblement humain et fatalement touchant. Une rafale de métaphores fleurit  aussi les dialogues qui sonnent comme une douce mélodie pour les lecteurs  au garde à vous devant tant de talent.
Nous voilà donc parti pour la révolution russe pour le tome 2, un sursis pour notre Mattéo ?
Un -1 néanmoins pour le prix, 16 Euro pour une BD, ça commence à faire beaucoup.
surprises.smileysmiley.com.8

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Vinci,L’ange brisé.

Vinci1_13092008_110215Albvinci1_13092008_110215Auteurs :Convard et Chaillet
Editeur :Glénat.

Le résumé.
Abbaye de Vauluisant. 1519. Le roi François Ier confie à la discrétion des moines un mystérieux tableau, à ce point ignoble et dérangeant que personne ne devra plus jamais y poser le regard. Cette toile, un portrait, a pourtant été peinte par un génie. Un homme célébré comme l’une des lumières de son siècle : Léonard de Vinci. Comment cet artiste total, à la sensibilité esthétique parfaite, a-t-il pu accoucher d’une œuvre aussi torturée ? Et quel sombre secret François Ier veut-il éviter de voir répandu sur la place publique pour ainsi cacher la dernière toile de cet homme qu’il admirait par-dessus tout ? Peut-être faut-il pour le savoir remonter quelques années en arrière, en 1494, à Milan, à l’époque où démarra une étonnante série de meurtres impossibles, commis par un insaisissable tueur, le « voleur de visages ». Artiste délicat et cultivé, au faîte de sa gloire, Léonard n’avait théoriquement aucune raison de s’intéresser à cette étrange affaire. Théoriquement…

Mon avis.
Après l’abandon après 20 pages de  « l’assassinat dans la rue Morgue » (oui, c’est bien un titre d’une BD !), je n’étais pas plus chaud pour ce « Vinci ». Mais force est de constater  que j’ai passé un bon moment de lecture. Certes, c’est parfois un peu lent mais Convard cultive bien le mystère qui plane autours de Léonard de Vinci. Je pense bien deviner que notre chère Léonard n’est pas l’auteur des meurtres mais c’est ce qu’on  voudrait nous faire croire mais on n’est pas dupe, enfin je l’espère. Par contre, que cache le tableau ? Un portrait de sa bien aimée qui ne doit pas cacher son visage pour des prunes ? Bref, de quoi bien remplir le tome 2 et aussi l’intérêt du public.
Le dessin de Chaillet est très détaillé et nous donne un bel aperçu du Milan du XV ème siècle. On regrettera néanmoins, les personnages trop statiques mais c’est presque une marque de fabrique pour ce  style de BD historiques.
A noter que le scénariste c’est visiblement très bien renseigné sur cet inventeur d’avant-garde, quoiqu’un peu romancé, c’est surprenant de découvrir des idées avec 400 ans d’avance.
6.5/10
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La bande annonce du jardin des glaces.

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Le Jardin des glaces – wideo
Bande-annonce du Jardin des glaces, le nouvel album de Servais.Synopsis: Sous les frondaisons de son jardin modèle, un vieil homme cultive l’art de vivre au rythme des saisons. Avec sa barbe argentée, son chapeau de paille et ses mains calleuses, il a tout du misanthrope rural. Un homme sans histoires. Mais l’intrusion d’une jeune étudiante trop curieuse ravive le passé récent du jardinier. Car le bonhomme n’est pas banal. Il s’agit du fameux Arnold Francart, ce grand explorateur dont les expéditions sur la banquise ont fait la une des médias. Mais pourquoi Francart a-t-il abandonné soudainement sa prestigieuse carrière scientifique ? Cette décision est-elle liée à la disparition tragique de son assistant dans le Grand Nord canadien ? Ce sont les réponses à ces questions que la jeune Barbara est venue chercher à l’ombre des arbres en fleurs…

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