
Scénario : Ordas, Patrice & Cothias, Patrick
Dessin & Couleurs: Manini, Jack
Dépôt légal : 03/2013
Editeur : Bamboo
Collection : Grand Angle
Planches 46
ISBN : 978-2-8189-2306-1
Histoire ou histoire ?
Les passionnés d’Histoire avec un grand H et plus particulièrement de la Première Guerre mondiale connaissent le Lusitania et son triste sort. Le torpillage de ce paquebot, en mai 1915, par la marine Allemande, va entrainer l’entrée en guerre des USA. Voilà pour planter le décor de cette série prévue en trois tomes.
Comment arriver à rendre cette bande dessinée intéressante et passionnante pour ceux qui s’intéressent un peu à l’Histoire ? Voilà le challenge que le duo de scénaristes Patrice ORDAS et Patrick COTHIAS doivent remplir. Pour ma part le contrat est rempli !!! Le tome 1 de S.O.S Lusitania est vraiment plaisant à lire !! La grande Histoire côtoyant les petites histoires, les différents personnages sont intéressants et l’intrigue passionnante !!
Patrice ORDAS et Patrick COTHIAS m’avaient déjà enchanté avec le premier tome de leur série L’Œil du Doberman et avec leur série L’ambulance 13, voir les chroniques sur ce blog. Ce duo de scénaristes est vraiment doué pour nous compter des histoires passionnantes à suivre, merci messieurs !!!
Le dessin de Jack Manini est plaisant, travaillé et plein de détails. Sa mise en couleur colle bien à l’ambiance développée par le scénario.
En conclusion, La croisière des orgueilleux, est une bonne entrée en matière qui peu aussi bien satisfaire les passionnés d’Histoire, avec un grand H, que de « simples » lecteurs d’histoires.
Scénario : 8/10
Dessin : 7/10
Global : 7,5/10
Revedefer














Je rentre chez moi. Je me fais une joie de lire cet ultime tome du bois des vierges. La vieille, j’ai relu les 2 premiers albums pour avoir bien l’histoire en tête. Mais derrière la porte, Christine m’attend comme une bête aux aguets. Elle me jette un de ses regards de biche dont elle a le secret. Je comprends vite sa manœuvre, ma lecture attendra car vous devez savoir que cette série à la préférence de Madame. Il faut dire qu’on y parle d’amour, une sorte de conte avec une belle (Aube) et une bête (le seigneur Clam). Parfois, je me demande si Christine ne m’aimerait pas plus viril pour pouvoir me caresser dans le sens du poil. Et puis Christine apprécie énormément le trait minutieux de dame Béatrice. Elle a pu la voir en action lors d’une séance de dédicace, elle est restée bête comme chou devant tant de dextérité pour croquer un loup ou un animal à poil. Et puis, je me demande si elle n’aimerait pas se travestir comme la rayonnante Aube dans de belles robes
écarlates aux motifs distingués agrémenté d’un pendentif original pour accroitre encore son pédigree. C’est une bête de concours ma Christine l’air de rien. Je rajoute encore la force que dame Béatrice met dans ses regards. On a vraiment l’impression de lire dans les pensées des personnages. Du grand art assurément !
Global.



































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