Private secretary – Tome 1

Auteure : Aya Oda.
Editeur : Soleil Manga.
192 pages.
Sortie : 12 novembre 2015.
Genre : Shojo.

Résumé.

Ai Fukumoto n’a qu’une idée en tête : devenir la meilleure secrétaire du Japon ! Mais jusqu’ici, tous ses emplois se sont soldés par un échec et elle désespère de trouver le job de ses rêves. Elle finit tout de même par se faire embaucher par un fameux fournisseur de kimonos. Pleine de bonne volonté́, elle perd rapidement ses illusions face à son jeune patron, Takara Umenishi, qui n’hésite pas à profiter de son dévouement.

 

« Cette fonction était mon fantasme ».

Mon avis.

Le titre aurait pu faire croire à une autre sorte de manga mais il s’agit bien d’un shôjo pur jus.
J’ai terminé ma lecture avec une drôle de sensation. Déjà, ce n’est pas de la dévotion au travail mais presque de l’esclavage que notre héroïne s’est farci pendant la première moitié de l’album avant de passer du statut de sous-fifre à secrétaire pour finalement devenir la petite amie du patron (même pas un spoiler tellement que ça coule de source dans ce genre de récit).
J’ai vraiment eu du mal à y croire tellement son abnégation allait loin. Il faut être japonais pour avoir aussi peu d’amour-propre et penser en priorité à l’intérêt général. Sincèrement, je l’ai prise pour une belle cruche mais vous savez ce qu’on dit dans ces cas là : l’amour a ses raisons que la raison ignore.
C’est une sorte de boxe sentimentale, ce manga, avec un punching ball masculin imperméable et insondable et de l’autre coté, une boule de flipper qui va dans tous les sens mais toujours avec un grand sourire et un réel dynamisme.

Rajoutez-y les conventions typiquement japonaises pour corser l’affaire et le monde ô combien passionnant « du kimono » et vous aurez un manga loin d’être évident pour une européenne.

J’ai aussi moyennent apprécié le dessin qui fait la part belle aux gros plans (vous allez en bouffer du sourire et des yeux de cocker) mettant en scène à 90% exclusivement nos deux amoureux transis.

Bref, j’ai déjà lu mieux dans le genre.
Pour terminer sur une note plus positive, les petites annotations d’Aya Oda (Room paradise, avoue que tu m’aimes) qui parsèment l’album sont vraiment un plus à découvrir !

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a05-3e788c9.gifScénario

a06-3e788fc.gifDessin

a05-3e788c9.gif Global.

Sambette.
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