La question du dimanche (11).

Je suis parfois influencé par les critiques. Elles ont, en tout cas, le mérite d’attirer mon attention sur des titres par forcement visibles parmi les milliers d’albums sortant chaque année.
Je dois notamment au blog, la découverte d’Adamson ou le Bleu est une couleur chaude que je ne regrette absolument pas.
Mais après la critique, vient chez moi l’épreuve finale et incontournable du feuilletage !
Ainsi, pour Jolies ténèbres, rien à faire ! Autant la couverture est belle, autant le style de la BD ne m’attire pas.
Un exemple similaire avec Block 109, qui bénéficie de critiques excellentes et dont le thème me plait beaucoup : je l’ai eu plusieurs fois entre les mains, mais je n’y vois que des crayonnés souvent approximatifs — barbouillés à la va-vite sous Photoshop — qui m’empêchent d’aller plus loin…
Cela ne signifie pas que je suis totalement hermétique aux styles « inhabituels » — ma bibliothèque peut en témoigner —, mais encore faut-il que j’accroche un minimum…
Alors, je manque certainement de belles choses — avec toujours la possibilité de changer d’avis un jour —, mais ainsi vont mes choix…
Bon dimanche !

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Ma réponse va certainement tomber comme un cheveu sur la soupe car je ne m’immisce généralement pas dans les échanges sur Samba Bugatti, même si je vous lis régulièrement. Mais vu que cette question ouverte est accessible au tout venant…
Ma réponse est : oui, je suis influencée par les critiques que je lis sur le net (blogs) et non, pas influencée par ceux de Samba Bugatti ou rarement.
Je m’explique avant de me faire sortir. Je blogue dans mon coin et j’ai tissé des liens avec des blogueurs (purs BD ou non). Les lire et échanger avec certains permet de repérer les « affinités de lecture ». Chez certains, je note une référence d’albums sans sourciller alors que chez d’autres ce ne sera jamais le cas, même si je saisis l’échange qu’il propose.
La spécificité de Samba Bugatti, c’est que vous êtes plusieurs à publier et que cela nécessite de réellement se poser sur cet espace pour vous repérer individuellement et ça, je n’en ai pas le temps. Je vous lis régulièrement mais je fais rarement attention à la signature de l’article. Du coup, je ne cerne pas le lecteur derrière la critique.

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ah, j’ai loupé la question du dimanche….
Et bien pour répondre assez rapidement, je ne suis que très peu sensible aux chroniques que ce soit sur Samba Bugatti ou ailleurs.
Je n’ai jamais acheté une bd parce qu’elle avait plu à une majorité de gens qui l’ont écrit. Par contre, je lis quand même ces chroniques, non pas pour l’avis que la personne donne, mais pour cerner le thème de l’histoire et pouvoir me rendre compte si c’est susceptible ou non de me plaire.
Après, je crois vous l’avoir déjà dit, mais c’est surtout mon époux qui choisit nos lectures et lui c’est surtout en feuilletant l’album et au dessin qu’il va accrocher ou non, il ne lit jamais les critiques; donc des fois, je l’oriente vers une bd qui pourrait me plaire en lui demandant ce qu’il en pense en le feuilletant.

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