En Bref : Suicide Squad – Blaze

Scénario : Simon Spurrier
Dessin : Aaron Campbell
Éditeur : Urban Comics
144 pages
Date de sortie :  24 février 2023
Genre : super-héros

 


Allez vous faire foutre la Suicide Squad ! Avec vos grosses bites d’impérialistes américains de merde !

suicide squad- blaze-planche

Présentation de l’éditeur

Un méta-humain avec les pouvoirs de Superman, mais dépourvu de toute humanité, a été lâché sur le monde. Pour stopper ce fléau, Harley Quinn, Peacemaker, Captain Boomerang et King Shark sont missionnés pour baby-sitter — et au besoin exécuter — cinq nouvelles recrues mortelles au sein de la Suicide Squad ; cinq créatures sacrifiables nées d’une expérience gouvernementale secrète du nom de Blaze. Ils sont dotés d’incroyables pouvoirs… étonnamment transmissibles. Et quand un membre de l’équipe meurt, les autres deviennent plus puissants. Qu’est-ce qui pourrait mal se passer… ?

Contenu vo : Suicide Squad : Blaze #1-3.

suicide squad-blaze

Mon avis

Je n’ai rien compris ! Jamais vu un récit aussi mal fichu et invraisemblable (même pour un album de super-héros). Une histoire débile avec un être venu de l’espace que l’on ne voit pas, qui bouffe des gens et s’installe en Islande pour faire son garde-manger de ce beau pays froid. Une équipe Suicide Squad dont on se demande à quoi elle sert ? avec une Harley Quinn débile à souhait (qui ne se réveille qu’à la fin pour se poser des questions sur la mission !?). 5 pauvres humains sacrifiés par l’odieuse raison d’état et la très horripilante Waller, patronne de la SQ (moi je n’aurais pas accepté qu’on me donne des super-pouvoirs en me disant que cela va me tuer rapidement mais que je serai un héros, un con oui !), un King Shark qui ne pense qu’à appeler sa « môman » au téléphone (et à bouffer des gens of course). Il n’y a que les rapports entre les pauvres hères issus de l’expérience Blaze qui sont intéressants; l’équipe Suicide Squad ne fait rien dans l’album sinon mourir (tout comme la Ligue de Justice d’ailleurs). Le scénario est tellement vide que pour faire durer, le dessinateur s’est vu obligé de faire de belles pages multicolores, bien floues, sensées montrer l’affrontement entre les héros débiles et nuls et l’être venu de l’espace dont on apprendra dans les 6 dernières pages qui il est, pourquoi il veut détruire le monde et que c’est pas sa faute s’il est comme ça car… Lisez-cet album merdique si vous voulez connaître la chute à la « mords-moi le » !

JR

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