Scénario : Ryan Parrot, Anthony Burch
Dessins : Dan Mora, Huang Danlan, Simone Ragazzoni
Couleurs : Raul Angulo, Eleonora Bruni
Editeur : Vestron
ISBN : 979-10-95656-85-2
NB pages : 160
« Tu penses qu’on les a semés ? »
Contient Road to Ranger Slayer (FCBD 2020), Ranger Slayer, et Drakkon : New Dawn #1-3 parus en VO chez Boom! Studios.
Résumé éditeur : L’histoire du Ranger Slayer.
Dans l’univers parallèle du Seigneur Drakkon, le double du Ranger Rose Kimberly Hart est le Ranger Slayer : un redoutable exterminateur de Rangers. Dans un monde qui la craint, pourra-t-elle prouver qu’elle est devenue une héroïne… et est-ce la bonne chose à faire ? Alors que Drakkon a disparu, la place sur son trône est vacante et elle pourrait bien revenir à Kimberly… mais il a aussi laissé derrière lui un étonnant secret, caché dans sa prison : le tombeau.
Aujourd’hui découvrons ce que sont des « Tie-In » dans le monde merveilleux des comics. Généralement une mini-série d’une série régulière qui vient accompagner un event ou un crossover. Cela permet de développer ou d’apporter des éléments supplémentaires sans sortir du cadre du dit event ou crossover.
Cet album est découpé en deux parties distinctes, l’une centrée sur la Ranger Slayer, ses origines, son chassé-croisé entre univers, et ce qu’elle a fait pour Drakkon. Ce qui permet une remise à plat des personnages et des enjeux, notamment sur la guerre entre sentinelles et sans-médaillons. Une seconde partie qui ouvre sur une petite ellipse (c’est un Tie-in je vous rappelle) et qui se concentre sur la succession de Drakkon. Les personnages habituels du lore sont présents ou à minima mentionnées avec Eclipta, Scorpina ou Dark Specter.
Visuellement on appréciera surtout le travail de Dan Mora, mais Simone Ragazzoni n’est pas en reste. On le retrouvera sous peu sur la mini-série Power Rangers Universe. L’ensemble est ma foi fort dynamique et plaisant.
Pour aller plus loin, un point d’entrée idéal existe pour les power rangers, c’est le moment de vous lancer et c’est ici que cela se passe.
Un mot sur l’édition comme c’est la première fois que je vous chronique un album Vestron : c’est exactement le format qu’un TPB US classique. (un album souple en 16.4 x 1 x 23.6 cm). Pas de bonus particulier à signaler.



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JaXoM
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