Dessin : Federico Nardo.
Scénario : LF Bollée.
Editeur : Glénat ( collection explora).
Sortie : 4 novembre 2020.
56 pages.
Genre : historique.
« Et nous n’avançons pas dans cette mer d’huile et ce brouillard… A croire que nous sommes dans je ne sais quel purgatoire. »
Le résumé.
Doté d’un grand sens marin et très doué pour la cartographie, James Cook est sans conteste l’un des plus grands navigateurs de l’histoire de l’exploration maritime. Ce capitaine anglais de la Royal Navy a consacré l’essentiel de sa carrière à naviguer autour du globe, et notamment dans l’océan Pacifique où ses voyages ont donné lieu à de nombreuses découvertes et cartes qui ont changé notre vision du monde.

Mon avis.
Voilà bien une lecture qui tombe à pic pour nous faire voyager et oublier cette période confinée.
Et quoi de mieux pour s’évader que de suivre les pas d’un des plus célèbres explorateurs, James Cook. Et puis voilà qu’il fait escale à Batavia et tombe sur …..une épidémie de dysenterie. Décidément, les virus et les hommes, c’est une longue histoire.
On retrouve pour son 62e scénario, LF Bollée pour un titre dans la continuité de Terra Australis et Terra Doloris. Ce navigateur a en effet découvert de nombreuses terres dans cette région du pacifique. Dans ce premier tome, vous y découvrirez ses premiers pas dans la marine, son premier voyage autour du monde (1768-1771) et aussi un aperçu de sa fin tragique…
La partie graphique est assurée par le dessinateur italien, Federico Nardo auteur entre autres de Monster Allergy, Un loup est un loup ou Macao. C’est assurément du bon boulot de sa part, j’imagine que dessiner de façon réaliste tous ces beaux voiliers doit prendre un temps fou. Qu’il en soit félicité.
Finalement, un album qui sent bon l’évasion et les embruns, fidèle à la vie de cet explorateur dont on aimerait en savoir plus sur sa personnalité visiblement assez complexe et un peu déroutante.
J’attends de connaître la fin de ce diptyque pour voir si j’arrive à mieux le cerner.
En fin d’album, vous trouverez un intéressant dossier historique réalisé par Stéphane Dugast.
Sambalesvoiles.
Tu as raison, ça a l’air d’être une BD vivifiante qui sent bon les embruns et l’évasion… agrémentée d’un documentaire qui doit être instructif !👍
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