Angoulême reçoit Jirô Taniguchi.
La 42e édition du Festival d’Angoulême reçoit Jirô Taniguchi et lui consacre une grande exposition. Il s’agit d’une consécration pour le mangaka préféré de la francophonie.
Il est né en 1947 et débute dans la bande dessinée en 1970 avec « Un été desséché ». L’intérêt de Taniguchi pour la bande dessinée européenne date de la fin des années ’70. Il découvre dans une librairie de Tokyo de livres importés les travaux de Bilal, Giraud, Micheluzzi, Crepax, Giardino,…
La première visite de Taniguchi date de 1991 au sein d’une délégation d’auteurs et d’éditeurs japonais invitée par le festival. Il a été prix du meilleur scénario en 2003 pour « Quartier Lointain ». En 2015, les éditions Casterman profitent de l’occasion pour célébrer le vingtième anniversaire de la parution de « L’Homme qui marche », premier ouvrage de l’auteur paru en langue française. Cet album est maintenant proposé dans une nouvelle édition, largement enrichie.
Suivra ensuite le « Chien Blanco » et « Le journal de mon père ». Il est reconnu par les auteurs de bandes dessinées et par un public limité de connaisseurs. La reconnaissance du grand public se fait attendre.
Au début des années 2000, Casterman publie les deux tomes de « Quartier Lointain » dans la nouvelle collection « Ecritures ».Cet album est transposé en sens de lecture occidental, un travail colossal. C’est l’album de Taniguchi le plus lu en langue française. « Quartier Lointain » est adapté au cinéma par Sam Gabarski. Cet album a été vendu à ce jour à plus de 300.000 exemplaires. C’est la reconnaissance du grand public.
Casterman publie l’œuvre de Taniguchi dans toute sa diversité. La collection Sakka, créée en 2004, accueille les mangas de l’auteur qui font la part belle aux grands espaces, à l’aventure, à l’action (Sky Hawk, Les enquêtes du Limier, Les contrées sauvages,…) La collection « Ecritures » publie ses récits plus intimistes et familiaux (Les années douces, Un zoo en hiver, Furari,…). Ce sont ces derniers avec « Quartier Lointain » qui ont apportés la notoriété à l’auteur. Mais Taniguchi fait preuve d’une richesse et d’une générosité authentique. Du western au polar, de l’ode à la nature de Jack London à l’hommage aux grands maîtres de la bande dessinée franco-belge, ces récits témoignent de la richesse de sa carrière, d’une curiosité insatiable et d’un immense talent de dessinateur et de raconteur d’histoires.
Traduit en de nombreuses langues, il reste cependant un paradoxe. Il est aujourd’hui moins célèbre au Japon que dans le monde francophone. Son style a un côté « ligne claire » qui le rend immédiatement familier pour nous.
Si vous voulez en savoir plus sur l’auteur, Samba BD vous conseille un livre intitulé « L’homme qui dessine » ( paru en 2012), un livre d’entretiens avec Benoît Peeters.
LES CONTREES SAUVAGES – Tome 2.
Dessin & scénario : Jirô Taniguchi
Sortie : 21/01/2015
Edition Sakka (Casterman) – Manga
264 pages – Broché
Grands espaces, nature, animaux, aventures.
BUFFALO RUNNER de Tiburce OGER
ONE SHOT
scénario et dessins de TIBURCE OGER
Lettrage: Eliette OGER
80 pages – format cartonné – prix: 17€
Editeur: Rue de Sèvres
parution: 21 janvier 2015
Tiburce OGER est un auteur reconnu dans le genre « Fantasy » (Gorn), le « western » ( la piste des ombres, canoë Bay ) etc. Il nous présente ici une belle et triste histoire contant la sordide réalité de la conquête de l’ouest américain. Un récit composé, comme il le dit lui même, de sang, de sueur et de larmes.
L’histoire commence en 1896, Henri Ducharme et ses deux enfants Andrew et Mary roulent dans une vieille carriole branlante vers la Californie. Ducharme a promis à sa défunte épouse de trouver un endroit où les enfants pourront grandir avec un espoir d’avenir.
Le sort va en décider autrement! La famille arrive devant une baraque délabrée où campent quelques indiens et peones pouilleux. Henri engage jovialement la conversation en demandant de l’eau; en réponse il reçoit un tomahawk en pleine tête.
Lorsqu’il se réveille, pendu la tête en bas, son fils est mort et sa fille vient d’être violée par la bande!il crie pitié et un indien s’approche de lui pour l’achever mais est abattu de loin par une balle de fusil Sharp – arme favorite des chasseurs de bisons.
Le reste de la horde subit le même sort et alors apparaît le tireur, un vieux cow-boy nommé Ed Fisher. Ce dernier ne peut que constater le décès du père et essaye de réconforter Mary.
Ed sait que les brigands n’étaient pas seuls car il a vu leurs traces en venant. Mary et lui vont se réfugier dans la masure et passer une nuit de veille en attendant l’attaque prévisible du reste des bandoleros.
Pendant cette nuit, un peu pour répondre aux questions de Mary, un peu par nostalgie de son passé, Ed va raconter sa vie aventureuse. Il va ainsi nous apprendre un peu de l’histoire de l’ouest allant de son enfance d’enfant volé par les indiens, en passant par son adolescence chez les comancheros (trafiquants d’armes et d’alcool auprès des indiens), puis sa jeunesse de cow-boy, l’âge adulte comme engagé sudiste dans la guerre civile et, surtout, son expérience de chasseur de bisons.
à la guerre on apprend à tuer, petite,
on puait la mort, la poudre et le feu de bois
Ed Fisher a eu une vie mouvementée, il a perdu femme et enfant dans la violence, il a chassé hommes et bêtes, et sa seule volonté lui a permis d’être toujours en vie dans ces contrées arides et mortelles.
Ed et Mary vont ainsi passer la nuit, l’un fabriquant des balles avec tout ce qui traînait dans les affaires des truands, l’autre écoutant l’aventure de l’Ouest sauvage.
Les deux épisodes les plus dramatiques de la vie de cet homme – outre la perte de sa famille – sont l’horreur de la guerre de sécession et, surtout, le massacre des bisons ou buffalos comme on les appelait à l’époque, ce qui a précipité la chute de la nation indienne par la famine.
Les références aux grands classiques du cinéma américain sont évidentes. En lisant l’album ont se revoit les images de films tels Les deux cavaliers de John Ford, Buffalo Bill de William Wellman, La caravane vers l’Ouest de James Cruze, ou encore La poussière, la sueur et la poudre de Dick Richards.
Tiburce Oger, comme ses illustres prédécesseurs Jijé et Giraud, connaît à fond son sujet et nous entraîne avec énergie et passion le long d’une fresque épique et sauvage dont l’épilogue en troublera plus d’un.
Comme d’habitude chez Rue de Sèvres, il parait aussi une édition limitée et grand format de cet album! Elle contient deux pages supplémentaires (fin alternative) qui étaient prévues à l’origine mais supprimées car enlevant l’émotion ressentie à la chute! Un petit dossier et quelques photos d’époque complètent cette édition qui est proposée au prix de 25 €.
En conclusion je peux dire que cet album est un petit bijou, une merveille! que je note ainsi:
Jeu de Dames partie 1
Scénariste :Toldac
Editeur : Grand Angle.
Sortie : 28 janvier 2015.
Genre : Thriller historique de 48 pages.
Jeu de dames, c’est une des plus incroyables machinations de l’histoire de la conquête spatiale : juin 1943, l’ingénieur Hugo Ebeling quitte le centre d’essai des fusées allemandes V1 et V2 dirigé par Von Braun. Il rejoint la résistance allemande où il rencontre Eva. Avril 1945, tous deux se jurent fidélité jusqu’à la mort. Mais un obus russe atteint les deux amants. Anéanti par l’annonce de la mort d’Eva, Hugo est récupéré par l’armée américaine. Aux États-Unis, il retrouve Von Braun, affecté à la conquête spatiale. Hugo rencontre alors Lola, le sosie d’Eva en plus jeune, il est bouleversé. Octobre 1957, Spoutnik est lancé, les Russes mènent dans la conquête spatiale. L’équipe de Von Braun revient sur le devant de la scène et le cauchemar commence pour Hugo…
« Scheisse !Terroristen ! »
Toldac (pilier du magazine Spirou, scénariste d’ADN) et Philan (Tupac chez Vents d’Ouest) nous propose avec jeu de dames un thriller à la sauce historique puisque l’on suit le parcours du célèbre ingénieur allemand Werner Von Braun après la 2e guerre mondiale. On y parle bien évidemment du programme spatial mais l’accent est plutôt mis sur les amours compliqués d’un de ses collaborateurs Hugo Ebeling. J’ai essayé de trouver des infos sur lui, vu le texte de présentation qui, je cite « une des plus incroyables machinations de l’histoire » mais je n’ai rien trouvé à son sujet .Il s’agit donc visiblement d’une fiction.
Pour ce qui tourne autour de notre bonne vieille Terre, je vous conseille vivement de voir l’excellent documentaire de la BBC sur la conquête de l’espace, c’est admirablement bien fait et instructif.
J’ai été un peu décontenancé par cette histoire qui balance entre thriller, reconstitution historique et mélodrame .On survole le programme spatial à la grosse louche, le thriller est pour le moment encore très nébuleux et la romance est « très compliquée » .Bref, on en saura certainement un peu plus avec le tome 2 mais pour le moment l’histoire a du mal à décoller. Par contre, j’ai trouvé le dessin de Philan de bonne facture, c’est agréable à suivre. Un trait plutôt classique mais qui rend bien pour l’époque désirée.
Voilà, rien de rédhibitoire au final, on attendra d’avoir la fin de ce diptyque pour pouvoir juger valablement cette histoire.
Dessin
Scénario
Global
Samba.
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Sunlight
Scénario : Christophe BEC
Dessin : Bernard KHATTOU
Editeur : Glénat (Flesh & Bones)
160 pages
date de sortie : octobre 2014
genre : épouvante
Claustrophobes, s’abstenir …
TRAINS DE LEGENDE 3 : Le Transsibérien
LE TRANSSIBÉRIEN
Editeur : SOLEIL – Collection :Trains de légende
Parution : 14 janvier 2015
Scénario : Grégory Lassablière, Fabrice David
Dessin : Isaac Del Ribero, Juan Albarran
Couleurs : Bertrand Denoulet
Couverture : Ronan Toulhoat
Voici le troisième volume de cette intéressante série qui permet, au travers d’une aventure humaine, de connaître les grandes lignes ferroviaires de notre monde.
L’histoire se déroule en 1979, Ève et David son un couple de canadiens dont la vie conjugale bât de l’aile! Elle, est retournée à l’université et étudie la photographie, lui, obscur ingénieur, passe ses journées à espionner sa femme dont il est horriblement jaloux. Les disputes sont quotidiennes et, souvent, démarrent pour un rien.
Puis un jour un courrier, que Ève s’est empressée de jeter à la poubelle, est récupéré par David qui découvre ainsi qu’ils sont les heureux gagnants d’un voyage gratuit sur le Transsibérien, l’une des lignes ferroviaires les plus célèbres du monde, traversant les étendues glacées et stériles de la Sibérie!
David l’annonce à son épouse, espérant que ces vacances leur permettront de se retrouver. Le couple se présente donc à l’embarquement à la gare de NAKHODKA en URSS pour une épopée au sein des grands espaces du pays .
Ce voyage va débuter bizarrement avec, d’abord, la présence d’un américain assez grossier, Stephen, qui va « coller » nos deux héros, la présence de deux hommes en noir, agents du KGB, qui semblent surveiller le couple, et l’apparent désintérêt que porte Ève à ce voyage.
Ce que David ne sait pas c’est que son épouse est un agent « dormant » soviétique, placée aux USA depuis sa tendre enfance et attendant le moment propice pour aider les intérêts de la mère patrie!Ève se trouve donc en porte-à-faux dans ce train en territoire russe.
Les deux agents du KGB vont entrer en contact avec elle, ne comprenant pas sa présence sur le sol soviétique. Ils vont surveiller de près Stéphen, l’américain indélicat, qui, curieusement, a gagné lui aussi son voyage en achetant un aspirateur. Les mystères vont aller croissant avec l’intrusion d’un individu dans la cabine du couple, la scène de jalousie que David fait à son épouse qu’il a vu quitter la couchette pendant la nuit.
Puis David va disparaître bizarrement du train, laissant sa femme et le KGB interloqués! Le voyage va alors devenir un jeu d’espions, tout le monde surveillant tout le monde jusqu’à la révélation finale qui en surprendra plus d’un et dont peu sortiront vivants.
Ce dernier album de la série est donc un thriller d’espionnage et, contrairement aux deux volumes précédents qui racontaient une histoire véridique s’étant déroulée sur la ligne correspondante, le récit est fictif bien que se déroulant en pleine « guerre froide ».
Le scénario est bien construit et rend l’histoire agréable à lire alors qu’elle n’est pas très originale. Les dessinateurs ont livré un travail très correct bien que d’un classicisme outrancier.
Bref un album qui vous fait passer un bon petit moment mais qui ne transcende pas les canons du genre.
A noter que, comme dans les autres volumes, un cahier historique, vient en fin d’album, photos à l’appui, nous raconter les grandes lignes de l’histoire du Transsibérien et des événements de l’époque.
ma note:
Assassin Royal – Tome 08 – Astérie Chant-d’Oiseau
Scénario : Jean Luc Clerjeaud
Dessin : Christophe Picaud
Couleurs : François Cerminaro
Dépot Légal : 09/2014
Editeur : Soleil Productions
ISBN : 978-2-302-04234-6
Lire la suite « Assassin Royal – Tome 08 – Astérie Chant-d’Oiseau »
Undertaker T1 :Le mangeur d’or.
Scénariste : Xavier Dorison
Editeur : Dargaud
Sortie : janvier 2015.
Genre : western de 54 pages.
Jonas Crow ainsi dit-il s’appeler est un « undertaker », un croque-mort. A bord de son corbillard, il va là où on le demande. Il se rend à Anoki City, appelé par Cusco, le riche propriétaire de la mine d’or, qui lui demande de se charger de ses funérailles… prévues le lendemain ! Jonas Crow devra convoyer le corps de Cusco, qui, avant de se donner la mort, a avalé ses précieuses pépites d’or ! Un voyage qui s’annonce mouvementé…
Dieu a dit « tu éviteras de faire chier un type qui braque un calibre 44 sur toi ».
Le premier à rentrer sur le ring, le challenger, le prophète du 3e testament, le mélangeur de neurones, le long John Xaaaaaavier Dorisooooooooooon Silver.
Son adversaire, le champion des crayons, l’as des belles courbes, le spécialiste de la berceuse assassine, Raaaaaalph Meyeeeeeeeeerrrrr.
Ce match est un match du cercueil, tous les coups seront permis, le premier à refermer le cercueil sur son adversaire gagne le titre Dargaud des poids lourds.
Ding !
C’est parti, Meyer commence avec sa célèbre clé de bras blueberry , il ne peut nier sa filiation avec l’ancien catcheur Giraud. Mais Dorison réplique avec sa prise dite de la soif de l’or . Meyer doit se réfugier dans son corbillard et fuir la vindicte populaire .Mais Dorison le rattrape et exécute son tombstone paledriver . Le coup est rude mais Meyer aidé par son vautour qui rodait autour du ring décoche son running DDT .Les deux hommes sont au sol !
Se relèveront-ils ?
Nous le serons après la pub .
De retour où sur le ring c’est l’anarchie la plus totale, les coups pleuvent sur Anoki City .Un véritable champ de bataille .Un match très old school avec pas mal de coups tordus et de rebondissements.
Ooohhhhhhhhhhh , un chokeslam d’enfer sur …..
Hé hé , la suite au prochain numéro
Dessin
Scénario
Global
Samba.
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Les Chroniques Courtes (67) :Triple galop T9,L’Univers des Schtroumpfs T4 ,One Piece T72,Les pompiers T14,Le tueur T13,
Scénario : Du Peloux, Benoît
Dessin : Du Peloux, Benoît
Dépot légal : 09/2014
Editeur : Bamboo
Planches :44
Après l’éthologue américain, Kévin, au tome 8 voici le pitch de ce tome 9. Maud se lance dans la compétition équestre et son parcours va être parsemé d’obstacles.
Ce tome est le moins intéressant de cette série qui commence à s’essouffler. Les gags ont du mal à faire rire et l’humour est moins présent dans ce tome qu’auparavant.
Cependant, cette série est ciblée pour les enfants et il y a longtemps que j’ai dépassé l’âge de l’adolescence. Donc, je ne suis pas le cœur de cible visé ici par Benoît du Peloux. J’ai donc demandé l’avis sur cet album à ma fille, de 13 ans. Elle a bien aimé et a trouvé cela drôle.
Ma note
La note de ma fille
Revedefer
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L’Univers des Schtroumpfs T4 Des monstres et des Schtroumpfs
• Scénario : Peyo
• Dessin : Peyo
• Dépot légal : 08/2014
• Editeur : Le Lombard
• Planches :46
Dans cette Bd, vous trouverez 5 petites histoires, Les glands d’or , Le château de glace, Les carottes sauvages, Grossbouf et les lézards et Motro, le monstre de la forêt qui opposeront les Schtroumpfs à différents monstres et bien sûr au méchant sorcier Gargamel.
Côté scénarii, c’est plutôt bancal et vraiment ciblé pour les jeunes enfants. C’est vraiment très, très pauvre et tiré par les cheveux. En tant qu’adulte, je me suis ennuyé à la lecture des ces 5 petites histoires. Si vous aimez les Schtroumpfs, achetez plutôt la série mère qui elle est bien meilleure que ce dérivé.
Ma note
Revedefer
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One Piece T72 Les oubliés de Dressrosa
• Scénario : Oda, Eiichirô
• Dessin : Oda, Eiichirô
• Editeur : Glénat
• Collection : Glénat Shônen Manga
• Planches :208
Ce tome 72 est placé sous l’égide de l’action. Luffy entre enfin en lice dans le tournoi. Sanji et Trafalgar Law sont pris dans des combats pour échapper au piège que Doflamingo a tendu à l’équipage du chapeau de paille.
De nombreuses pistes entrevues dans le tome précédant commencent à trouver des réponses dans ce tome 72. Eiichiro Oda est vraiment très doué pour continuer à nous surprendre et à nous réjouir avec les aventures de Luffy et de son équipage. De plus, il termine, Les oubliés de Dressrosa, par deux « cliffhanger » qui nous donnent envie de nous jeter sur le tome 73 !!!
Ma note
Revedefer
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Les pompiers T14 Flammes and co
• Scénario : Cazenove, Christophe
• Dessin : Stédo
• Couleurs : Favrelle, Christian
• Dépot légal : 10/2014
• Editeur : Bamboo
• Planches :48
Pour ce 14e tome, nos pompiers accueillent une nouvelle recrue Arnold. Ce pompier est particulièrement costaud et il impressionne ses collègues avec sa force Herculéenne.
Christophe Cazenove, comme à son habitude met ici en scène des situations cocasses et drôles dans des gags d’une page. Le tout mis en dessins par Stédo dans le plus peur style gros nez. Cette série qui commençait à ronronner gentiment, retrouve un peu de son « mordant ».
Ma note
Revedefer
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Le tueur T13 Lignes de fuite
• Scénario : Matz
• Dessin : Jacamon, Luc
• Dépot légal : 06/2014
• Editeur : Casterman
• Collection : Ligne Rouge
• Cycle : 3
• Planches :54
Voilà c’est fini…. Ce treizième tome clos les aventures de ce tueur à gages cynique et nihiliste. Luc Jacamon et Matz ont décidé de mettre un terme à cette série, avant que cette dernière ne finisse par lasser son public.
Le Tueur souhaite raccrocher et passer à autre chose avec sa compagne et leur fils. Son passé va en décider autrement…. Le chasseur devient le gibier !!
Luc Jacamon avec ses dessins de toutes beautés, clos magnifiquement, cette aventure qu’il a commencée voilà une quinzaine d’années.
Matz, quand à lui ne ferme pas définitivement la porte et qui sait peut être que quand plus personne ne si attendra, Le Tueur ressurgira, tel le fauve bondissant sur sa proie.
Même, si je suis un peu triste que cette série se termine. Je préfère rester sur une note positive, plutôt que de la voir devenir du grand n’importe quoi, comme beaucoup trop d’autres séries qui se sont essoufflées depuis fort longtemps…suivez mon regard.
Chapeau bas, messieurs Matz et Jacamon, d’avoir su vous arrêter avant que votre belle série ne devienne indigeste pour vos lecteurs.
Ma note
Revedefer
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