
Dessin : Nathalie Berr – Scénario: Patrice Ordas & Patrick Cothias
Editions Grand angle
Sortie : 29/05/2013
48 pages
Prix conseillé : 13,90 €
ISBN : 9782818924
Drame, Histoire, Russie
Résumé (de l’éditeur): Sauvée in extremis du massacre des siens en juillet 1918, la duchesse Anastasia se rétablit lentement de ses blessures chez le loyaliste Félix Vodoline, devenu colonel. Hébergée secrètement par celui qui l’a secourue et l’aime éperdument, Anastasia doit rester discrète, car une enquête sur la tuerie survenue à la Villa Ipatiev vient d’être ordonnée…
Mon avis : Le deuxième tome de ce triptyque débute alors que l’exécution des Romanov a eu lieu. Le Colonel Vodoline a sauvé in extremis Anastasia et la cache. Mais, l’officier doit collaborer à l’enquête qui a suivi la tuerie et ce n’est pas sans risque.
Ordas et Cothias réussissent à rester crédibles dans leurs options scénaristiques et développent ainsi la piste de la survivance d’Anastasia. Une seconde Anastasia va apparaître. Une femme qui lui ressemble étrangement mais qui est dérangée psychologiquement. Les auteurs profitent de ce personnage réel pour faire diversion et la mêler de près à la vraie Anastasia. C’est habile et le lecteur est vite capté par l’histoire.
De plus, le dessin de Nathalie Berr confirme l’impression graphique du premier tome. Le dessin est bien rendu et la lecture agréable. Le lecteur doit cependant être attentif à l’histoire et au dessin car les deux personnages principaux se ressemblent étrangement. Le ressort de l’intrigue est aussi au niveau graphique un risque d’incompréhension.
Au final, le tome deux est à la hauteur des espoirs donnés par le premier tome. La dernière planche de l’album se termine sur une inconnue. Reste maintenant à attendre le troisième et dernier tome de la série. Que va-t-il se passer ? Que vont devenir les deux Anastasia ? Les amateurs de mystères historiques apprécieront…
Graphisme : 
Scénario : 
Moyenne :
Lien vers les éditions Grand angle : ICI.
Capitol.




Le dessin de Nathalie Berr sur cet extrait me fait penser à celui de Nicaise.
C’est marrant comment certains mythes ont la dent dure.
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