Scénario : Gabriel Katz
Dessin : Stéphane Créty
DL : 01/2021
Editeur : Drakoo
ISBN : 978-2-4907-3533-4
NB pages : 48
« Tu vas gagner la confiance de ces chiens de Némésiens, c’est clair ? »
Résumé éditeur :
Les hordes barbares déferlent sur Enoch, paisible province impériale que rien ne préparait à la guerre. À leur tête, le légendaire chef de guerre Anrogh, poussé par une obsession sauvage, met le pays à feu et à sang pour retrouver un homme dont il ignore encore tout. Il cherche celui qui a réveillé la Pierre du chaos, artefact ancestral dont le pouvoir le rendrait invincible. Cet homme, c’est Araes, un jeune appelé issu de la noblesse impériale, qui lors d’une patrouille dans une cité en ruines, a vu sa vie basculer. Depuis qu’il a touché la pierre, jour après jour, il se métamorphose en machine de guerre. Rien ne semble pouvoir l’arrêter. Ses camarades, à la fois fascinés et horrifiés par ce qu’il est devenu, ne le reconnaissent plus. Alors que les barbares écrasent la résistance impériale, il se dresse contre eux, et rend les coups avec une violence inouïe. C’est alors que le camp ennemi envoie une espionne sur ses traces. Enarya, jeune sorcière surdouée, est chargée de le traquer, et d’organiser son élimination.
Gabriel Katz continue de faire avancer le récit dans ce deuxième tome (série prévue en trois). Les personnages en place il est temps de faire avancer les différentes intrigues en cours : Drana débarque pour rejoindre Navel en beau milieu d’une guerre avec les barbares, Navel voit son ami de plus en plus changer depuis qu’il a touché la pierre et devenir ce qui semble être un demi-dieu, Araes accepte et embrasse les changements et se trouve un allié inattendu avec la sorcière barbare infiltrée Enarya.
Comme sur le premier tome je trouve que les dessins de Stéphane Créty manquent de régularité sur les personnages typés humains, les couleurs (Alessia Nocera sur ce tome) volontairement plus sombres (dans le ton général de l’album) n’aident pas à la compréhension.
Malgré cela, une série qui reste plaisante à lire.
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JaXoM
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