Au royaume des aveugles
Scénario : Olivier Peru
Dessin : Stéphane Bileau
Éditeur : Soleil
52 pages
Date de sortie : 29 octobre 2020
Genre : Fantasy, action, aventure.
Une aventure haletante signée Olivier Peru, grand scénariste de la saga, avec le dessin respectable de Stéphane Bileau, mis en couleurs par Élodie Jacquemoire, qui reste dans la continuité du style de la série.
Présentation de l’éditeur :
Se pourrait-il que l’ultime défi de la jeune elfe blanche Alyana soit d’affronter son propre peuple ?
Après avoir vaincu les géants et provoqué un raz-de-marée qui a tué des milliers de personne, Alyana n’est plus que l’ombre d’elle-même. Son cœur ne bat plus. Quant à ses immenses pouvoirs, ils disparaissent. Elle désire seulement vivre en paix auprès des siens. Mais rares sont les elfes blancs prêts à l’accepter, quelques-uns veulent même profiter de sa faiblesse pour en finir avec elle.
Mon avis :
Pour ceux qui se plaignaient de ne plus avoir de suite parmi les tomes de la série « Elfes », il suffisait d’attendre le retour des elfes blancs pour retrouver des protagonistes connus. La jeune Alyana, que nous avons vue naître et grandir sous la crainte des aînés dans le tome 18 et montrer l’étendue de ses pouvoirs dans le tome 23 comme en vainquant les géants tout en provocant, hélas, un raz-de-marée meurtrier dans les Terres d’Arran : la voici de nouveau, siégeant avec le conseil des Elfes blancs.
Mais ces derniers ne sont pas tous favorables à sa présence. Certains la font espionner afin de trouver le point faible qui pourra leur permettre de la tuer dès que l’occasion se présentera. Autant dire que c’est le thème de ce 28e tome, mais en voulant échapper à la mort, Alyana va plutôt affronter son passé en découvrant, dans les dédales d’un labyrinthe sous la cité blanche, son grand-père.
Une aventure haletante signée Olivier Peru, grand scénariste de la saga, qui jongle avec justesse entre l’action et les intrigues, les complots et les alliances. Comme celle qui unit depuis le tome 18 notre héroïne et ce grand Orc au nom significatif de « La Pouasse ».
Avec, en prime, le dessin respectable de Stéphane Bileau, mis en couleurs par Élodie Jacquemoire, qui reste dans la continuité du style graphique de la série.
ShayHlyn.
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