Scénario : Lapuss’ & Tartuff
Dessin : Lapuss’
Éditeur : Kennes
Genre : Chats, humour
Sortie : août 2020
Une putain d’aventure féline au cœur de la jungle urbaine de New-York et de Central Park sympathique à lire.
Présentation de l’éditeur :
Quand l’un des plus beaux chats de la ville, prétentieux et choyé à outrance par son esclave de maîtresse, se perd un soir en pleine forêt, les choses se compliquent pour lui… Face aux chats errants et autres animaux sauvages tels d’effrayants rongeurs et rapaces, il n’aura d’autre choix que de s’endurcir s’il veut rentrer chez lui. Spin-off de la série à succès « Putain de Chat », ce putain de conte vous emmène dans une putain d’aventure !
Mon avis :
Contrairement à la série principale « Putain de chat », ce conte est en couleurs et le dessin plus étoffé. Avec des décors assez détaillés, des protagonistes loufoques et un scénario loin du style bande-dessinée – ici, c’est un conte illustré – Lapuss’ et Tartuff revisitent les récits que nous lisons le soir aux enfants, sauf que celui-ci, sous ses airs enfantins, n’est sans doute pas le plus conseillé pour nos chères petites têtes blondes.
Rien que le titre donne toute la teneur en vulgarité de ce conte… donc si vous souhaitez le lire à vos enfants, attendez qu’ils soient adolescents (mais pas sûre qu’ils apprécient être bordés à leur âge).
Hector, superbe chat angora turc, vit paisiblement dans un appartement de haut standing new-yorkais, aux bons soins d’une vieille dame. Jusqu’au jour où, se dorant la pilule au soleil sur la terrasse, il se retrouve nargué par deux pigeons, bien décidés à lui rabattre son caquet de chat de luxe. Tant et si bien qu’Hector décide de partir à l’aventure, découvrant que ses instincts de prédateurs ont été bel et bien atrophiés par sa vie de pacha.
Une putain d’aventure féline au cœur de la jungle urbaine de New-York et de Central Park sympathique à lire. Avec le franc parlé et l’humour caractéristique de Lapuss’. Qu’on aime ou qu’on n’aime pas ce style, à vous de voir… c’est sûr que ça n’a rien de comparable aux gentilles aventures de « Simon’s cat », duo maître-chat attendrissant et drôle, dans un tout autre registre humoristique.
ShayHlyn.
Sûr que ce langage est plutôt paradoxal, car la cible semble quand même être très jeune. Alors quand on sait que nous sommes soucieux d’être le moins grossier possible en leur présence (bien qu’ils adorent les gros mots qu’ils apprennent et retiennent très vite !)… sûr qu’ils vont aimer nous entendre les prononcer !*
Alors Kesskonfé ?… cruel dilemme !🤔
*Ma petite fille adore que je lui lise une superbe BD déjantée de Boucq « Les dents du recoin »… elle est morte de rire chaque fois que je lui lis la dédicace !🤣

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Ah oui c’est de la dédicace 😂
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