

Tome 5 : La danse du dragon
Scénario : Michel Rodrigue
Dessin : Antonello Dalena, Manuela Razzi
Couleur : Cécilia Giumento
Editeur : Le Lombard
Dépôt Légal : mai 2014
planches :45
ISBN : 978-2-8036-3437-8
Résumé : Dans la taverne d’un monde parallèle, une nouvelle mission se prépare. Une escapade dans le monde des humains… plus précisément dans le cartable de Nina, qui a d’autres chats à fouetter que de s’occuper de supposées souris qui squattent sa trousse.
Ce qui est pratique avec la fée de Nina, c’est qu’elle habite dans son cartable, avec un pandigole (son valet de chambre) qui ronfle et qui est trop gourmand.

Les 4 éléments ont chargé Sybil de protéger Nina qui est l’héritière de ce monde féérique.
Nina a beaucoup à faire, car en plus des devoirs et de ranger sa chambre, elle doit affronter continuellement une peste blonde, nommée Lorie, qui lui rend la vie infernale à l’école. Lorie est secondée par la fée ‘amanite », une empoisonneuse de première.
Dans le royaume des fées, on y croise toutes les créatures fantastiques imaginables : Pégase, Puck, Les sirènes, Athéna, les elfes, les sorcières, le dodo d’Alice, Obéron et Titiana, les lutins, les esprits des eaux et des bois…
Après avoir sauvé le royaume en grand danger d’extinction, Nina assure l’équilibre de la Terre ; ayant réussit à sauver le monde des fées, la vie de Nina retrouve son équilibre initial.

Mon avis :Avec des dessins qui m’ont fait penser aux personnages humains de Bernard et Bianca, cette série très colorée s’adresse aux plus jeunes avec des références culturelles bien achalandées sur la littérature fantastique.
L’intrigue a un peu du mal à démarrer. En 3 albums on découvre enfin le rôle de cette humaine qui doit libérer le monde féérique. Mais les forces du mal sont toujours bien présentes.
Le thème de la fée dans le cartable m’avait bien attiré dans le premier album. Je regrette que l’histoire se dirige autant vers la magie pure et le monde fabuleux, plus que vers les actions féériques dans le monde réel. Avoir une fée dans son cartable pour une maîtresse d’école c’est excitant.

Néanmoins, ces aventures sont extraordinaires pour les 8-10 ans et un bon début pour aborder l’héroïc fantasy.
L’avis de ma fille de 13 ans :
Le – : moins d’action que d’habitude (je vous rassure, il y en a tout de même)
le + : Nina doit se débrouiller seule, plus de métamorphoses, de nouveaux méchants apparaissent… et Nina est amoureuse !

ma note :
dessins : 7,5/10
scénario : 6/10
moyenne : 6,5/10
Sophie

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