Missi Dominici Livre trois :Jélami.

Missi Dominici3.jpgMissi Dominici3p.jpgAuteurs : Gloris et Dellac
Editeur : Vents d’ouest.
Sortie : 02/2012

Droit au but.
Jélami, l’Infant zodiacal accompagne les lives pour le siège du château tenu par les Mathgens. Grâce à Dame Hilda et ses hommes ‘Guerre’, ‘Antechristus’, ‘Famine’, la résistance tient bon.
Dans les geôles, les Missi Dominici Wolfräm et son disciple Ronan De Guivre sont torturés par ‘Guerre’. Poussés dans ses derniers retranchements, de Guivre invoque un avatar pour combattre ‘Guerre’ tandis qu’à l’extérieur, Jélami a invoqué un zodiac qui parvient enfin à abattre les murs du château.

Magneto antique.
Parfois je me dis que les auteurs ont du forcer sur la fumette pour pondre des trucs pareils. Je m’excuse mais croiser le « troisième testament » avec Wolverine et sa clique d’ X-men, il fallait l’oser (il y a même du walking dead , c’est vous dire). J’en connais un qui sera ravi par cet univers mais le lecteur classique sera assez déboussolé par cette série. A un moment, j’ai même cru qu’on allait avoir l’équipe de SOS Fantômes débarquer  dans une case. J’admets sans soucis que c’est original, de l’ésotérisme médiéval pourquoi pas (il faut de tout pour faire une BD) mais c’est tellement improbable que la pseudo complexité du scénario est assez ridicule surtout si c’est pour finir si précipitamment. Une fin expédiée en deux coups de cuillère à pot qui vous laissera un goût amer tellement elle est ouverte et quand on sait qu’il n’y aura pas de suite, c’est à se taper les couilles au plafond. Bref, beaucoup de bruit et de fracas pour pas grand-chose au final sauf peut être la découverte du dessin de Benoit Dellac. Un trait assez proche d’Alice qui s’avère être très dynamique et vif avec quelques cadrages très originaux (parfois un peu trop d’ailleurs, pas toujours  évident de tout capter de la scène).
Bon, si vous êtes un peu atteint du bocal, pourquoi pas vous faire un petit trip avec ces Missi Dominici, les autres … fuyez ce délire !
Dessin : 7/10
Scénario : 4/10.
surprises.smileysmiley.com.5.gifGlobal.

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L’or sous la neige

9782356482631_cg[1].jpgOr sous la neige (l’) Tome 1. Klondike
Scénario : Stalner, Éric
Dessin : Stalner, Jean-Marc
Couleurs : Pradelle, Bruno, Zielinska, Zuzanna Estera
Dépot légal : 06/2011
Editeur : 12bis
Planches : 46 

couv-orsousneiget2couv[1].jpgOr sous la neige (l’) Tome 2. Mersh
Scénario : Stalner, Éric
Dessin : Stalner, Jean-Marc
Couleurs : Pradelle, Bruno, Zielinska, Zuzanna Estera
Dépot légal : 01/2012
Editeur : 12bis
Planches : 46 

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Dracula Tome 2

Dracula (Croci)2.jpgDracula (Croci)2p.jpgAuteurs : Croci et Pauly.
Editeur : Emmanuel Proust.
Sortie : 03/2007

Pas mordre !
Quand l’écrivain Bram Stoker se rend chez l’archiviste du British Museum, celui-ci lui fait une révélation terrible sur le personnage historique de Vlad Tepes, l’empaleur…
Le romancier entreprend alors la rédaction de son roman culte  » Dracula « , où le jeune Jonathan Harker va devenir la victime du Prince …

Pascal Croci, avec une mise en couleur directe sublime, crée une atmosphère, à la fois terrible et crue. Il réalise dans cette édition intégrale, comprenant de nombreux inédits, un vibrant hommage à la littérature fantastique gothique, et au film de vampire. À classer parmi les œuvres cultes.

Vampirisé.
Le hasard des dédicaces m’a fait rappeler que j’avais en son temps acquis le tome 1 de cette série. Heureusement que Croci était là  pour m’aiguiller car les tomes 1 et 2 se ressemblent vachement. En plus, aucune numérotation de visible sur ces albums. Bref, on ne fait pas mieux pour perdre un acheteur éventuel. En plus quand je compare l’extrait (en haut à gauche)  et  mon album, les couleurs n’ont pas été lavées avec Dreft color protector, gros carton rouge  à l’impression donc !
J’ai donc ressorti mon vieux tome 1 des oubliettes et c’est avec sourire que j’ai retrouvé un papier où j’avais écrit un p’tit avis. Je lis « Il faudrait dire aux auteurs qu’une BD, ce n’est pas un résumé d’un bouquin, un minimum de construction et des dialogues compréhensibles sont nécessaires pour captiver le lecteur. Au final, c’est une BD très décevante ».
Dur non ? Car après sa relecture, je dois avouer que je suis moins acerbe envers ce tome 1. Je dois me ramollir à mon avis à force de lire trop de BD ou alors je deviens moins exigeant.
Le point fort de ce Dracula est indéniablement l’ambiance créée par Croci . Un trait qui fait penser un peu à celui de Sorel, très élancé et magnétique. Par contre, la lecture est toujours aussi torturée et c’est à coup de pied au cul que je me force à tourner les pages car oui, c’est ennuyeux. Le gros problème, c’est que le texte ne colle pas au dessin .On vous parle de maisons rouges, on vous montre un bateau. On cite un port, on croque une falaise .Bref, le texte monocorde ne s’articule pas sur le dessin. On joue sur la suggestion quasiment tout le temps  et fatalement ce qui devait arriver arriva, on déconnecte complètement du récit.
Désolé mais une (bonne) BD ce n’est pas un recueil de dessin aussi beau soit-il !
Dessin : 8/10
Scénario : 2/10
surprises.smileysmiley.com.4.gif Global.

Samba.

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« Saïgon-Hanoï »

saigon.jpgsaigon h.jpg de Cosey (Collection Air libre Dupuis, 1990). One-shot.
 

 

Résumé :
 

La nuit du 31 décembre 1990 quelque part dans le Colorado… Tandis que la neige tombe sans discontinuer un homme seul pénètre dans l’ancien chalet de ses parents.
Les couvertures spectrales recouvrent toujours les vieux fauteuils comme les flocons les routes du comté et Homer l’ancien soldat semble pensif…
Pour lui tenir compagnie, un reportage sur la guerre du Vietnam – ses vétérans revenant sur les lieux vingt après – mais c’est un coup de fil avec une gentille inconnue qui sera sa meilleure bougie éclairant le passé.
Une rencontre insolite où l’homme et la voix d’enfant, pas si éloignés l’un de l’autre, invite à réfléchir sur le sens profond de la vie, ses blessures comme ses joies…
 

Mon avis :
 

saigon v.jpgRelu par hasard, ce simple album de 48 pages touche toujours.
D’abord la narration est unique en son genre : une conversation téléphonique entre deux personnes ! De quoi ennuyer le lecteur me diriez-vous ?
Eh bien non. Les interrogations (via des dialogues pertinents de Cosey) et images du documentaire sont nombreuses et nous projettent dans la vie de deux êtres que tout – à priori – semble opposer : un vétéran de la guerre du Vietnam qui a perdu un compagnon d’armes et une enfant de onze ans. Avec une grande simplicité à la fois dans le trait et dans le verbe Cosey nous invite à assister à une amitié qui se crée petit à petit dans la confiance. L’ancien combattant racontant ses souvenirs et à la recherche d’une certaine innocence ; l’enfant trop mature pour son âge, pas vraiment à sa place, qui se cherche elle aussi… Ils ont beaucoup en commun. Beaucoup plus qu’on ne l’imagine.
En résulte un album grave et léger à la fois, presque comme un poème.
Une vague d’allégresse qui vous submerge et vous redonne le sourire le temps de brûler un petit cierge dans une église… Intemporel, même vingt après.
 

Ma note :
 

surprises.smileysmiley.com.8.2.gif. J’aurais aimé une petite rallonge de quelques pages supplémentaires tellement c’est beau.
Et mettre une note c’est foutrement abstrait je trouve pour un album tel que celui-ci. Autant noter un poème comme on pèse des patates…
 

Nicolas

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LES SAUVAGES

Couv_126300.jpgPlancheA_126300.jpgDessin & scénario: Lucie Lomova

Editions Actes Sud

Collection l’An 2

Sortie : 01/04/2011

152 pages

Prix conseillé : 23,40 €

ISBN : 9782742796472

Histoire vraie, Ethnographie

 

 

Résumé (de l’éditeur) : Inspiré d’une histoire vraie, le récit de l’amitié nouée en 1909 entre un botaniste et ethnographe de Prague et un indien du Brésil, et comment leurs destins croisés les amèneront à devenir l’un et l’autre étrangers à leur propre société.

Capitol, Les sauvages, Lomova, Actes Sud, 8/10, Histoire vraie, Ethnographie, 04/2011

Mon avis : C’est suite à une séance de dédicace à Contern (Luxembourg) que je me suis lancé dans la lecture de cette bande dessinée sortie chez Actes Sud, pas spécialement un spécialiste de Bd mais avec une solide réputation de découvreur de talents. La couverture, très réussie, m’avait déjà attiré l’œil. Pour la petite histoire, Lucie Lomova attendait à sa table son premier chasseur d’autographe et avait pris de l’avance en exécutant d’emblée son premier dessin sur un album. Samba m’avait devancé en inaugurant la file, ce qui lui vaudra de recevoir cette même dédicace en un temps record, à peine trois minutes…

 

Capitol, Les sauvages, Lomova, Actes Sud, 8/10, Histoire vraie, Ethnographie, 04/2011

Cet album est une histoire vraie, celle d’un autodidacte tchèque, Alberto Vojtech Fric, qui s’est passionné pour l’exploration, l’ethnologie, la botanique, la photographie. Il a été chroniqueur pour plusieurs journaux. Il a fait de sa passion un métier. Ses différents voyages au Brésil, en Argentine, au Paraguay l’ont amené à faire des travaux de recherche mais aussi à prendre la défense des droits des indiens  et de la préservation de leur culture  d’origine. Il va écrire de nombreux ouvrages de référence dans de nombreuses langues. Malgré tout, il va devoir faire face au scepticisme du monde scientifique car il n’avait pas de diplôme…

Capitol, Les sauvages, Lomova, Actes Sud, 8/10, Histoire vraie, Ethnographie, 04/2011

Lors d’un de ses voyages, il va se prendre d’amitié pour un indien nommé Tcherwuish dont il va raconter l’histoire. Il va le ramener avec lui à Vienne pour le faire soigner d’un mal étrange. C’est cette histoire qui est racontée avec talent et humour par Lucie Lomova.

 

Au niveau du scénario, il s’agit d’un récit linéaire, bien raconté et découpé, d’une fluidité extrême. L’album se laisse lire sans problème d’autant plus que l’auteur conserve l’ordre chronologique sans flash-back. C’est conventionnel comme narration mais le résultat est convainquant. On peut y voir la découverte d’une autre culture que ce soit dans le sens de l’européen qui va « chez les sauvages », que de l’indien qui va chez les européens, une société « développée ». Mais la vérité n’est pas toujours du même côté. Le livre met en confrontation les deux styles de vie avec leurs forces et leurs faiblesses respectives. La vérité n’est pas nécessairement où l’on croit…

Capitol, Les sauvages, Lomova, Actes Sud, 8/10, Histoire vraie, Ethnographie, 04/2011

 

Le dessin n’est pas un dessin réaliste mais n’est pas non plus caricatural. Il est épuré et l’encrage est très spécifique. Les traits sont gras pour le contour des visages et des personnages. On s’y fait vite même si le dessin n’est pas toujours vraiment « léché ».

Il n’empêche de Lucie Lomova a trouvé un style très personnel et qu’il passe plutôt bien à la lecture.

 

En conclusion, c’est une réelle découverte pour moi avec un an de retard par rapport à la sortie de l’album. Comme quoi, une séance de dédicace au festival de Contern peut toujours amener des lectures intéressantes. J’ai surtout bien aimé dans ce livre le côté historique et l’ancrage dans une réalité peu connue qui date du début du XXe siècle. Excellent !

 

 

Graphisme : 7,5/10

Scénario :   8,5/10

Moyenne :    8,0/10

 

Capitol.

Capitol, Les sauvages, Lomova, Actes Sud, 8/10, Histoire vraie, Ethnographie, 04/2011

« Karma Salsa » tome 1/3

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 édité chez Dargaud, scénario : Callède & Charlot, dessin : Campoy (2012).
 

 

Résumé :
 

Ange est un ancien guerrier qui sort enfin de sa cage des Caraïbes.
Vingt années qu’il attend sa liberté ce cher « ange », soi-disant pour avoir buté un flic !…
Mais est-ce pour retrouver les gants et les flingues à la sortie ? Non, car Ange est devenu accro à la méditation, plus au pognon ni à l’alcool, ni même aux filles…
Reste qu’un magot est caché quelque part et les anciennes connaissances sont bien décidées à mettre la main dessus ! Bouddha pourra-t-il alors l’aider à se défendre, sans devoir pour cela faire gicler le sang ?
Pas sûr.
Surtout qu’une fille ayant ses yeux est « protégée » par un beau salaud, qui lui n’a rien d’un moine lévitant.
 

Mon avis :
 

Un album avec dessus le nom de Callède suscite toujours mon intérêt, alors j’ai lu ce premier album sans trop hésiter. J’avoue être déçu au final, même si dans le cadre du simple divertissement des masses, ça fonctionne.
 

Le dessin est superbe et c’est bien pour lui en définitive que j’ai lu cet album. Fred Campoy a un trait qu’on dirait taillé au sabre, ça gicle, ça éclate, ça en fout plein les yeux et les couleurs de Sutter donnent envie de dépaysement total tant on se croirait à Cuba, avec « havanes et p’tites créoles » (comme dirait l’un des protagonistes) !
 

Là où le bât blesse, c’est dans le manque d’originalité du récit. Jamais je n’ai été surpris. Pas même par la personnalité atypique du héros. Suis-je blasé à ce point ? Certes, les dialogues sont bien écrits et parfois assez drôles, même si empreints d’une certaine vulgarité chère aux nostalgiques de Scarface (merci P. Charlot), mais que de gros clichés dans cet album !
De plus il se lit très rapidement, voire trop (46 pages sur un rythme endiablé, mêlant musique noire – Charlot est d’ailleurs musicien – et bien sûr Salsa).
 

Une demi-déception donc, par rapport à la créativité d’une série comme Haute sécurité, abordant le même thème des prisons.
 

Comme Callède est en charge de l’histoire et Charlot des dialogues, j’imagine que la suite va davantage « surprendre », mais en ce qui me concerne autant l’emprunter quand je n’aurai que çà à lire.
Pour un même prix j’aurais aimé l’histoire bouclée et dans un plus petit format… Mais faut bien se payer des vacances j’imagine… euh, aux Caraïbes les vacances ?
 

Ma note :
 

Dessin : 8/10
Scénario : 7/10
Originalité du récit : 6/10
 

Soit : 7/10
 

Avant tout un très bon dessin et des dialogues savoureux, voilà ce que j’en retiens.

Nicolas.

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Les fondus. Tome 15. Les fondus de la rando

fondus,rando,richez,jytery,062012,610,bamboo,humour amouriq,alexandre,mirabellefondus,rando,richez,jytery,062012,610,bamboo,humour amouriq,alexandre,mirabelleScénario : Richez, Hervé
Dessin : Jytéry
Couleurs : Amouriq, Alexandre, Mirabelle
Dépot légal : 06/2012
Editeur : Bamboo
Planches : 44 


Re-voilà, les fondus ! 44 planches de gags sur nos amis les dingues de la montagne ou plutôt de la marche. Les personnages de la série (Thierry, Thomas ….) sont tous là et ils ont décidé de ne pas s’en laisser compter : qu’importe les quolibets, les contraintes imposées aux corps ou les coups du sort, le but de la balade doit être atteint. Coûte que coûte !
Les gags s’enchainent, un par page. Le lecteur sourit gentiment. Pour les gens ayant pratiqué ce genre de sport (honnêtement dans cet album, tout le monde) on cherche le vécu. Et cela sert bien les blagues ! C’est donc de la caricature tirée par les cheveux qui se veut sans prétention.

fondus,rando,richez,jytery,062012,610,bamboo,humour amouriq,alexandre,mirabelleA noter, pas de titre pour chaque gag, mais un petit dessin résumant l’histoire. Un peu à la façon de Franquin dans ses signatures.
Cette série initiée par Cazenove au scénario, laisse la place à Richez. Il est fidèle à l’idée originale et s’en sort bien. Dans cette série (en dehors du leitmotiv, « un album pour un thème ») les dessins peuvent être confiés à différents dessinateurs. Que ce soient des « huiles » (Seron –les petits hommes-) ou des cadors du genre humoristique (Bloz-les fonctionnaires-), de nombreux dessinateurs ont la possibilité de mettre en page les situations ubuesques. Cette fois ci, Jytéry est au crayon. Connu pour avoir repris la suite de Dany dans la série Arlequin (Attention !), il s’inscrit dans un nouveau style : ligne claire et décors minimalistes ; sans doute pour faire la part belle aux canulars.

Au final, ce n’est pas de la grande BD (ce n’est d’ailleurs pas le but), mais c’est doucement plaisant à lire. Un public néophyte et/ou enfantin y trouvera son compte de bonne humeur.

Vous trouverez une interview de Christophe Cazenove sur Samba BD, ici !

Note : 6/10

Tigrevolant

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Sillage T14 : Liquidation totale.

Sillage14.jpgSillage14 e.jpgAuteurs : Morvan et Buchet.
Editeur : Delcourt(Néopolis).
Sortie : 10/2011.

Complots multiples.
Nävis s’apprête à rencontrer les autorités supérieures de Sillage. Mais pour les rejoindre, encore faudrait-il qu’elle reste en vie. Car «on» a engagé un assassin, le plus terrible qu’elle ait jamais connu. Elle-même se donne peu de chance d’en réchapper. Sachant qu’il s’agit peut-être de son dernier combat, Nävis décide de l’endroit où aura lieu le duel. Un endroit qui lui est cher …

L’ultime warrior.
Vous  allez dire que Samba retarde bien ce coup là mais rappelez-vous que je continue cette série via des achats en 2e main. Un petit tour au festival BD de Contern et me voilà donc avec ce 14e tome des aventures de Nävis. Dans cet album, elle combat une sorte de combattant ultime ayant des allures de mante religieuse. Là, franchement bravo à Philippe Buchet car cet ennemi est réellement terrifiant. Les scènes de combat valent vraiment  le coup d’être contemplées vu leur dynamisme.
Sinon, sauf si vous êtes un diplômé de HES (haute école sillagienne), vous aurez du mal à tout capter de l’intrigue. Les revirements ou rebondissements sont trop nombreux pour qu’un Bobo y retrouve ses mineurs. Mais bonne nouvelle, ce grand complot semble terminé (ouf, on peut vraiment l’espérer). Il reste la partie Atsukau et son ami à décortiquer.
Il doit bien rester 52 albums pour y arriver, ne déspérons pas !

Scénario : 5/10
Dessin : 8/10
surprises.smileysmiley.com.6.3.gif Global.

On en parle sur le forum.

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