36 histoires courtes originales (dont 9 histoires en noir et blanc supplémentaires)
Une quarantaine d’auteurs : dessinateurs et scénaristes de tous les horizons culturels et géographiques
Des noms prestigieux, des débutants, des moins connus
Éditeur : Casterman
264 pages – broché
Parution : 07 juin 2017
Présentation :
Un cocktail de genres et de styles
La nouvelle revue 100% bande dessinée, 100% fiction, 100% inédit.
La revue Pandora présente des récits autonomes, des « short stories », et des nouvelles sous forme de bandes dessinées mais aussi de quelques textes littéraires illustrés.
Ouvrir Pandora est une expérience de lecture incomparable : la preuve par l’exemple que la bande dessinée conserve un immense potentiel de séduction et que l’imagination peut apporter une autre vision du monde.
Tous les sujets peuvent être abordés, tous les genres revisités, tous les styles inventés sans aucune thématique imposée. La créativité et le plaisir sont prioritaires.
Pandora s’adresse à tous les lecteurs, qu’ils soient des lecteurs de romans et de bande dessinée ou des spectateurs de films et de séries télé.
La diversité des talents publiés dans Pandora – diversité géographique, narrative et artistique – donne à la revue la dimension d’un panorama extrêmement complet du meilleur de la créativité de la bande dessinée en 2017 !
Mon avis :
Cette troisième livraison de la revue Pandora se présente sous la forme tête-bêche à deux couvertures avec une partie consacrée au strict noir et blanc.
Question menu, c’est copieux et tout bon !
En guise d’ouverture, quatre pages de Corto Maltese, signées Canales et Pellejero. Tout en aquarelles, ce mini-récit ultra-condensé, tout comme la couverture très plaisante à l’oeil, donne un bel aperçu de l’ambiance de l’album à paraître en septembre, Equatoria.
Pour la suite, on retrouve des habitués des deux numéros précédents (Jean-Christophe Menu, Killofer, Alfred, Jean-Claude Götting, Johan De Moor, Art Spiegelman, …) et quelques nouveaux (Migueanxo Prado, Tom Tirabosco, Julien Neel, Xavier Mussat, …). Tous font preuve d’un talent remarquable qui laisse place à la découverte, à la surprise et à la virtuosité graphique.
Il y en a pour tous les goûts et tous les styles, ce qui est parfois déroutant pour le lecteur. Le choix étant très large, la revue n’a pas d’identité précise si ce n’est celle de l’éclectisme et de la qualité narrative. Le contenu, très varié, donne un bel aperçu des tendances contemporaines et artistiques de la BD, ce qui en soi relève d’un travail éditorial exigeant et heureux dans le contexte actuel.
Skippy
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