C’est à l’occasion du Festival BD de Theux que j’ai rencontré Matthieu Gauthy pour son album sous le ciel de feu( 3 tomes de prévu et sorti en mai 2025). Matthieu est sorti de St Luc à Liège en 2004 et il a commencé à travailler chez Casterman en réalisant la couleur pour des albums d’Alix ou Jhen par exemple. Il a ensuite dessiné des portraits pour des grands procès d’assises pour RTL. On l’a aussi retrouvé dans le journal Sud Presse pour sa rubrique journalière « Zigomaton ». C’est à coté de son métier d’enseignant qu’il auto-produit cette série sur la ville de Huy pendant la seconde mondiale prévu en 3 tomes « sous le ciel de feu ».
C’est à l’occasion de son expo à la galerie Dufays à Glons que j’ai rencontré Momo Bairi pour lui soumette notre questionnaire du mouton.
Baïri, dessinateur, vit à Liège. Avec le scénariste Hughot, il réalise sa première bande dessinée chez Emmanuel Proust éditions : l’Homme au complet marron. Son dessin élégant reste fidèle au roman de la reine du crime. Depuis 2022 chez Delta éditions il réalise Les gentlemen( 3 tomes) et aussi Aladin en 2024.
Né à Argenteau le 17 janvier 1946, François Walthéry est aiguillé à seize ans vers certains ateliers pratiques de Saint-Luc à Liège où on a senti que l’adolescent était doué pour le dessin, tout en n’ayant pas encore la maturité pour suivre les cours généraux destinés à des étudiants de loin ses aînés. Un voisin de Cheratte, le dessinateur Mittéï, lui donne quelques conseils de perfectionnement et les scénarios d’une vingtaine de gags de « Pipo » qui sont acceptés pour Junior, le petit frère de Tintin. En juillet 1963, encore en culottes courtes, il est conduit par sa mère à la rédaction de Spirou où le seul petit croquis qu’il a avec lui, dans son portefeuille, attire l’attention d’Yvan Delporte, de Charles Dupuis et de Peyo ! Désespérément à la recherche de collaborateurs pour répondre à la demande de planches des Schtroumpfs, Peyo le prend dans son studio, mais découvre rapidement que l’adolescent n’est pas très à l’aise avec les petits lutins bleus. Il lui faudrait une série plus dynamique. Supervisé au début par Will, Walthéry est dirigé vers la série « Jacky et Célestin », produite pour Le Soir illustré. De l’automne 1963 à 1966, Walthéry, sous le pseudonyme de Pop’s, en dessine quatre épisodes et développe graduellement son style. Lorsqu’il termine son service militaire, il est jugé apte à assurer la suite de « Benoît Brisefer », série plus ambitieuse que le Maître réserve à Spirou. Là aussi, il assumera quatre épisodes, de 1968 à 1973. Parallèlement, il met en route un nouveau personnage sur un scénario de son compagnon de Studio, Gos : « Natacha, hôtesse de l’air » est acceptée dès 1967, mais ce n’est qu’en 1970 que cette petite bonne femme déterminée débarque dans Spirou. Les rédacteurs devront désormais se relayer pour courir derrière un dessinateur aux retards proverbiaux. Ce sera pire encore lorsque, le succès aidant, l’éternel gamin honorera de sa présence tous les festivals de France et de Navarre. En trente années d’existence, la pulpeuse créature n’a pas encore atteint les vingt albums ! Les scénaristes (Gos, Borgers, Stoquart, Wasterlain, Tillieux, Mittéï, Cauvin, Mythic, Peyo, Michel Dusart) et les décorateurs (Jidéhem, Mittéï, Will, Wasterlain, Laudec, Georges Van Linthout) se succèdent pourtant à son chevet, mais ses épisodes ont été proposés à doses homéopathiques, d’abord par Dupuis (13 albums en 18 ans), puis par Marsu-Productions à partir de 1989 (une demi-douzaine de titres). Durant les absences de la belle, il arrive au dessinateur de se tourner vers de petits projets plus ou moins éphémères : un recueil des histoires pigeonnantes du « Vieux Bleu » sur scénarios de Cauvin en 1980, un hommage au personnage folklorique liégeois « Tchantchès » en 1988, des plaquettes publicitaires et des calendriers scouts. Après deux volumes chez Marsu-Productions de son personnage le plus autobiographiques, « Le P’tit Bout de chique », il l’a remis aux soins de Mittéï et il supervise la série « Rubine », dessinée par Dragan de Lazare et scénarisée par Mythic depuis 1993 pour les éditions du Lombard.
YANN LOVATO est né le 21 juin 1972 à Charleville-Mézières. Yann est un passionné : dès son plus jeune âge, les activités artistiques, telles que le dessin, le théâtre et la musique, font déjà partie de ses priorités. Il est reçu au diplôme supérieur d’arts appliqués avec les félicitations du jury en 1995.
Après un début notable dans le graphisme et la scénographie de différentes pièces, dont Des fakirs des momies et maman, pour le Théâtre de Paris-Villette et l’opéra, Le café Rossini, il illustre des ouvrages pour la jeunesse, bandes dessinées et romans pour divers éditeurs.Yann Lovato enseigne également le dessin à l’École supérieure de design de Troyes. Il a pris pour référence le manuscrit La Vallière, du XIIIe siècle considéré comme la version «la plus ancienne et la meilleure », texte fondateur le plus authentique en la matière. Cette épopée historique et légendaire, colportée par les trouvères dès le XIIe siècle, plonge le lecteur dans un Moyen Âge héroïque et chevaleresque. Une folle saga menée à un train d’enfer au rythme des sabots du cheval-faé Bayard, emportant sur son dos de géant ses quatre cavaliers de bataille en bataille, se jouant des précipices… Plus d’info ICI
À l’occasion des vingt ans de la série “Samurai”, pourquoi pas se lancer dans un petit questionnaire du mouton... sans mouton ?! Soyons fou ! Mais pas trop quand même… c’est sérieux cette affaire. Alors ouvrez bien vos mirettes et découvrez les réponses de Jean-François Di Giorgio, avec, en bonus, des questions subsidiaires en relation avec sa série phare. Enjoy ~
C’est à l’occasion du festival BD de Theux que j’ai eu la chance de rencontrer Baudouin Deville.
Baudouin Deville est un graphiste / illustrateur, né à Liège et passionné de motos. Après la publication de 5 albums de BD, il achète son premier Mac, dans les années 80 et fonde le studio graphique Traits. Il se spécialise dans la communication graphique au sens large et la mise en page. En 2000, Il rejoint la Haute École Albert Jacquard où il exerce en tant que maître de formation pratique au département Technique Infographique. Il revient néanmoins à ses premières amours : le dessin et la moto et décide de rendre hommage aux « grands » qui ont façonné l’histoire du deux-roues. Ces ouvrages : Cité de l’automobile, Continental circus , Coq-sur-Mer 1933 , Esclaves de la Torpeur , Kathleen , Népal, 25 avril, Rider on the storm, Spa-Francorchamps . Son dernier titre, la maison du peuple chez Anspach.
C’est à l’occasion du festival BD de Theux que j’ai eu la chance de rencontrer Oli ( Pirnay) Oli est un dessinateur et caricaturiste belge. En 2005, il commence sa carrière comme concepteur de site web et graphiste dans le secteur privé. Parallèlement, il lance en 2009 son blog Les humeurs d’Oli, instigué par les élections régionales en Belgique. C’est sous le pseudonyme Oli qu’il signe ses premiers dessins d’opinion. Il publie chaque matin un dessin qui croque l’actualité belge et internationale avec esprit critique et humour. En bande dessinée, on lui doit des participations en tant que dessinateur et scénariste aux ouvrages collectifs tels le premier tome de la série Contes et Légendes intitulé Hautes Fagnes5,6 (2017) et le récit Recreation center dans Spa à l’heure US7 (2018)
À l’occasion de la sortie de l’ultime tome de “La vie compliquée de Léa Olivier” (tant en roman qu’en BD, que je chroniquerai bientôt également), j’ai eu l’opportunité de rencontrer l’autrice et le dessinateur dans un cadre cosy et verdoyant (Le Péristyle, bar du jardin botanique) au cœur de la cité ardente, Liège. Le temps d’un petit interview et un questionnaire du mouton Furet !
C’est à l’occasion du festival BD de Theux que j’ai eu la chance de rencontrer Yannick Thiel. Né à Verviers en 1984,
Yannick Thiel a effectué des études en Arts Plastiques au secondaire, avant de se diriger vers l’illustration à Saint-Luc Liège. Il a également suivi un parcours pédagogique pour obtenir un CAP, lui permettant d’enseigner l’Art au secondaire. Yannick est actuellement professeur à l’Institut Notre-Dame à Heusy. Après ses études supérieures, il a eu la chance d’être reconnu par un géant de la BD, le regretté René Hausman, qui lui a prodigué de précieux conseils et ouvert les portes des festivals pendant plus de huit ans.
Ses réalisations : Alianah, Belles de Scène, Deuxième étoile à droite (La), Pluches (Les), Screen Wings, Sortilège.
Mario J. E. Boon (Saint-Trond, 15 août 1974) est un dessinateur et illustrateur belge. Boon a pris des leçons à l’Académie Sint-Lucas à Gand en 1997 et obtenu un diplôme en « Illustration et Conception ». Il a commencé à dessiner des livres, magazines et journaux pour enfants. Sa première bande dessinée, en 99, était une biographie de prêtre-poète Guido.
C’est à l’occasion du festival BD de Theux que j’ai eu la chance de rencontrer Olivier Wozniak pour l’album Spa 1906 dont vous pouvez retrouver la chronique ICI.
Olivier Wozniak est né le 31 juillet 1960 à Longwy (Meurthe et Moselle). Petit fils d’ouvriers immigrés polonais et italien du côté maternel. Fermement décidé depuis l’âge de sept ans de faire de la BD son métier, il suit les cours de l’Institut Supérieur des Beaux-Arts de Saint-Luc à Liège. Auteur notamment des Chasseurs d’étoiles, du Commissaire Hendrikus Ansor, de Zone 51, d’Alice et Léopold…
C’est à l’occasion de la délibération de la cinquième édition du Prix Orange de la Bande Dessinée auquel SambaBD est associé que nous avons rencontré le très sympathique et talentueux Yann Damezin, Lauréat de l’édition précédente avec Majnoun et Leili. Il a très gentiment accepté de répondre à notre fameux questionnaire du mouton.
Le principe : 10 questions (toujours les mêmes !) que nous posons aux auteurs de BD qui passent à moins de 2 milles des côtes Sambaiennes. En prime, nous leur demandons de nous dessiner un mouton.
Merci donc à Yann Damezin pour sa très grande gentillesse.
SambaBD 
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