Auteur : Masami Kurumada
Editeur : Kana
Genre : Arts Martiaux, Mythologie
Sortie : le 28 février 2025
Avis de l’éditeur :
C’est le moment de brûler ton cosmos !! Les Galaxian Wars ont commencé ! Alors que Shun d’Andromède et Jabu de la Licorne s’affrontent, Ikki du Phénix fait irruption et dérobe l’armure d’or ? ! La grande bataille acharnée contre les chevaliers noirs débute !
Mon avis :
Le Chevalier du Cygne, Hyoga, a reçu une missive du sanctuaire avec pour consignes de quitter la Sibérie pour se rendre au Japon et éliminer les Chevaliers de bronze. Entre temps, Seiya s’oppose au Chevalier du Dragon Shiryu lors d’un affrontement épique. Face au bouclier et au poing les plus forts, que peut donc envisager Pégase, mal embarqué contre celui qui a grandi à la montagne des cinq vieux hommes à Wulafoeng en Chine ?
Un combat légendaire qui apparait relativement précoce tant dans l’animé comme pour le manga, où deux futurs colosses s’affrontent quitte à déjà y laisser la vie. Dès l’entame de cette confrontation remarquable, on ressent déjà toute l’assiduité et la volonté de ces deux guerriers à pourfendre les airs de leurs techniques durement acquises lors de leur entrainement respectif.
Pegasus Ryuseiken (le poing des météores de Pégase) contre Rozan Shoryuha (l’envol du dragon suprême de Lushan). La volonté et l’obstination de Seiya Vs la force et l’élégance brute de Shiryu.

Masami Kurumada place avec ce second volet de la franchise ses divers pions centraux sur l’échiquier, les poussant déjà vers leur point de rupture, avec grâce et finesse. Pour l’époque, ce passage à lui seul se voulait particulièrement violent, avec le visage de Seiya dégoulinant et recouvert de sang, tandis que son homologue et adversaire cesse momentanément de vivre.
La seconde partie de l’ouvrage met en relief l’apparition de Phénix, qui n’est autre que le frère ainé de Shun devenu de son côté Chevalier d’Andromède. A l’instar des autres chevaliers, Ikki du Phénix dégage une haine viscérale vis-à-vis de chacun, uniquement bercé par une révolte intérieure faisant suite à ses six longues années retranchés sur l’île de la mort, un endroit pire que l’Enfer. Dorénavant, Ikki règne en maître sur les chevaliers noirs de l’ombre …
Une Final Edition pointilleuse, à l’encrage et à la qualité de papier plus que satisfaisantes. Un Must have que l’on souhaiterait voir apparaître un jour en version colorisée comme pour les Dragon Ball.
Coq de Combat



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