Auteurs : Runberg et Phicil
Editeur :Futuropolis.
La solution sera vite trouvée : un squat. Grâce à des amis, ils dénichent un « appartement ». Pas d’électricité, mais il y a de l’eau. Presque un endroit convenable, si ce n’est la poignée de cafards qui leurs tient compagnie. Thibault et son pote Alex décident de se rendre dans un jobcenter pour trouver du boulot. Il n’y a pas un grand choix et ils sont obligés d’accepter des emplois précaires, l’un dans un bar et l’autre à la cantine de la police. Alex se bagarre avec son patron, retrouve rapidement un autre travail. Les deux jeunes français croisent différentes personnes dont le parcours est au cœur des grandes thématiques sociétales de l’Angleterre des années ’90 : Comme par exemple, la pauvreté, l’IRA, et le hooliganisme.
Mon avis.
Et bien, j’ai fait preuve de ténacité pour enfin me procurer ce tome 2 (en format cartonné et c’est là l’astuce) de London Calling.Trois mois d’attente pour qu’on livre finalement la bonne version à mon libraire. Ouf.
Et donc je peux finalement ouvrir ce nouvel opus relatant les galères de Thibault et Alex à Londres sous les années Thatcher. Quand on sait qu’il s’agit d’un récit quasi autobiographique, ce récit en prend d’ailleurs encore plus de saveur. J’ai d’ailleurs trouvé ce tome 2 nettement plus costaux, les thèmes y sont en effet très nombreux, le hooliganisme, l’IRA, la drogue, le squat, le marché du travail, la musique. On est loin d’une petite virée foireuse chez Maggy. Je continuerai donc cette série sans problème malgré que le dessin du (di)Phicil ne soit pas trop ma tasse de thé mais je dois reconnaître que son trait se porte bien à ce genre d’histoire.
Tiens, j’ai soudain des démangeaisons aux doigts, ahhhhhhhhh ça gratte.
Une interview de Runberg ICI.




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