
Le résumé.
Auteurs : Paris et Dupuis
Editeur : Les humanoïdes associes
La « porte d’Ishtar » est à Babylone le lieu où certaines condamnations sont exécutées… Taliya, vingt ans, vient d’être nommée par la reine à la tête du Service de la Justice royale. Simultanément, un haut dignitaire a été assassiné chez lui, dans des circonstances mystérieuses et inexplicables. Alors que tout le monde s’attend à ce que l’affaire soit classée, Taliya soupçonne un complot de plus vaste envergure. Mais comment mettre en cause un autre haut dignitaire de Babylone quand on n’est qu’une jeune fille, occupant le poste traditionnellement dévolu à un homme ?
Mon avis :
D’abord un coup de gueule, pourquoi faire des collections comme Portail chez le Lombard ou Dédales chez les Humanos pour les arrêter quelques temps après leur création ? On peut espérer que les séries de ces collections ne soient pas laissées à l’abandon. Pourquoi je vous parle de la défunte collection Dédales ? Car initialement, ce dyptique devait y figurer. Et c’est vrai que ce polar antique aurait eu sa place sans problème dans cette collection. Le point fort de cette BD, c’est qu’on sent que les auteurs se sont hyper documentés sur cette Babylone antique et donc on a ici un récit qui semble bien crédible du point de vue historique. Par contre ce qui ne l’est pas du tout crédible, ce sont les expressions sur les visages. L’héroïne a souvent un éternel sourire qui ressemble plus a un rictus qu’autre chose. D’ailleurs le dessinateur pour moi n’arrive pas à retransmettre les émotions via son dessin et c’est bien dommage ou alors c’est d’une manière très excessive et pas du tout naturelle sans parler du coté statique du trait. Le scénario lui se dissipe aussi dans une complexité excessive à cause des 3 enquêtes menées de front et un rythme mené tambour battant en oubliant de nous faire mieux connaître les protagonistes. Bref, j’ai trouvé la pochette bien belle, le reste……..
L’interview des auteurs ICI.


c’est noté ! (dans tous les sans du terme ;-))
merci pour cet avis Samba.
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« tous les sens » je voulais dire, désolée !
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