Le résumé.
Atlanta, 1864. Églantine, en mission d’infiltration, a découvert ce que l’empereur Napoléon III compte négocier avec les états confédérés du Sud : l’utilisation d’une arme monstrueuse et vivante découverte dans les bas-fonds d’un temple maya. De leurs côtés, Zelda, Gavroche et Georges, prisonniers des sudistes, sont transférés par train vers Atlanta où le Général Hood veut les interroger avant de livrer l’ultime bataille. 

Mon avis.
Déjà, il a fallu 2 mois pour que je me décide à lire ce tome 4 « Atlanta ». Il faut dire aussi que j’avais pris une douche froide à la lecture du précédent. A force de mélanger presque tous les styles (Uchronie, fantastique,  espionnage, western et action), la série perdait de sa cohérence. Et voilà qu’on essaye d’y mettre le feu mais c’est un pétard mouillé à la place qu’on nous sert. Fin ultra conventionnelle , manque de profondeur des personnages décidément trop lisses , un monstre plus que ridicule, une Zelda bâclée en deux traits de crayon, la coupe est pleine et c’est avec joie que j’arrête cette série avec la clôture du premier cycle .Car et oui, ça continue, libre à vous de continuer le supplice. Bon, tout n’est pas négatif, le rythme est soutenu, les plans de la bataille sont sympa à voir et l’imagination pour les différentes machines est à son apogée.
En fait, je crois que cet album est plus destiné à un public d’ado qui aimera certainement l’originalité du récit.