Bestia – Volume 1

Scénario : Corc
Dessin : Corc
Éditeur : Les Humanoïdes Associés
220 pages
Date de sortie :  2 janvier 2025
Genre : fantastique

 

 

Présentation de l’éditeur

Dans une jungle urbaine tentaculaire, des monstres gigantesques sèment la mort et la destruction sur leur passage : les Bestia. Jacquie, une jeune chasseuse solitaire aidée de Kevyn, un jeune homme bricoleur et débrouillard, traque sans répit une bestia aussi impressionnante qu’insaisissable, celle de la cité de Cécropias. Sa quête effrénée l’amènera à fouiller les recoins les plus sombres de la ville mais aussi ceux de son passé.

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Mon avis

Un récit étrange se déroulant dans un futur (?) improbable d’un Monde qui pourrait être le notre ou pas ?, une ville qui ne semble pas être régie par une quelconque autorité, des habitants qui semblent vivre plus de magouille que d’un vrai travail et des bêtes géantes qui surgissent de n’importe où en dévastant tout sur leur passage. Et puis il y a les Traçaires, des chasseurs bardés de technologie, envoyés par une mystérieuse autorité afin de détruire ces Bestias qui ravagent les cités. L’un de ces chasseurs, une fille, Jacquie, va, aidée par un jeune zonard débrouillard nommé Kevin, tenter de tuer l’une des plus dangereuses de ces bêtes : la Bestia des Cécoprias. 

bestia

Dans son « Making of » de fin d’album, l’auteur explique avoir voulu décrire nos villes surpeuplées et la défense des animaux pourchassés par l’homme !? Moi j’ai lu une histoire à dormir debout avec des dessins assez désagréables, des lettrages bizarres (Tap, Tap, Tap pour décrire les pas de course par exemple) et des visages (surtout ceux des garçons), façon manga : des yeux ronds tout blancs avec des petites pupilles au milieu et des grandes bouches toujours ouvertes… D’ailleurs on se demande pourquoi les gars sont si moches et l’héroïne, Jacquie, si jolie et dessinée à l’européenne ? Ah oui ! J’oubliais les dialogues, parfois si lourdingues qu’on se croirait dans les cités Marseillaises.

Bref une histoire étrange qui aurait pu être intéressante mais que l’on a du mal à suivre quand on n’accroche pas au dessin rébarbatif. Et ce gros bouquin de 220 pages n’est que le volume 1 ! On attend donc un deuxième pour avoir la fin de l’histoire… sans moi !

48AJR

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