Scénario : G. Willow Wilson, Neil Gaiman (Secret Origins)
Dessins & Encrage : Marcio Takara, Dani (Back-up), Brian Level, Mark Buckingham (Secret Origins)
Couleurs : Arif Prianto, Trish Mulvihill, Nansi Hoolahan
Editeur : Urban Comics
ISBN : 979-1-0268-2849-5
DL : 08/2023
NB pages : 184
« J’étais censée être heureuse. »
Contient les singles US parus chez DC Comics : Batman #124 back-up + Poison Ivy #1-6 + Secret Origins #36 (1989)
Résumé éditeur :
Pamela Isley a été beaucoup de choses dans sa vie. Une super-vilaine, une scientifique, une activiste, une reine et… une morte. Dans un nouveau corps, et animée d’un objectif radical, Ivy quitte Gotham et celle qui l’y retenait pour entreprendre la plus grande mission de sa vie, un cadeau qui guérira enfin les maux de notre planète : l’extinction de l’humanité.
Un peu de contexte sur ce personnage, cela fait maintenant quelques temps – suite à Flashpoint / New 52 je crois – que son passé a changé, l’on a pu ainsi découvrir que ses pouvoirs sont un dérivé de la Sève, voir ici. Depuis elle alterne entre des passages en militante, en terroriste, entre bonne et mauvaise. Elle passera notamment par les Birds of Prey, avant de se réfugier au Sanctuaire et plus récemment avec The Gardener (une de ses ex éco-terroriste) son âme a été divisée dans Fear State avant qu’elle ne perde une partie de ses pouvoirs quand Harley et Selina ont dû trancher la partie Queen Ivy avant qu’elle ne détruise Gotham.
Nous voilà donc avec une nouvelle Ivy bien énervée qui quitte Harley pour aller traverser les Etats-Unis en répandant sur son trajet des germes de champignons parasites, le Lamia, qui peuvent vous tuer en un instant. Il est loin le temps d’Ivy qui t’envoûte d’un baiser, là elle te touche tu meurs. Elle en a marre de l’Humanité, mais encore plus du Dr. Jason Woodrue qui est son objectif final, le terminus de son voyage, l’affrontement ultime contre celui qui est quelque part son créateur et la cause de tous ses maux.
Très classique dans son déroulé via un schéma que l’on a déjà vu plusieurs fois avec une Ivy version horrifique qui en veut à tout le monde, se rend compte que les humains ne sont (peut-être) pas tous mauvais, arrive alors un duel final et une fin ouverte. Ce n’est je pense, pas le meilleur album de G. Willow Wilson mais comme souvent le classique fonctionne, c’est encore le cas ici, il est juste dommage que cela n’apporte pas grand chose au développement du personnage.
Graphiquement même constat, je pense que ce n’est pas le meilleur album de Marcio Takara, mais les gens qui implosent et se déforment via des champignons cela permet pas mal d’excentricité, cela fonctionne.
Très jolie galerie de couvertures en fin d’album.
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JaXoM
SambaBD 
3,5 ce n’est pas trop mal payé pour… une fin ouverte… pas le meilleur album… cela n’apporte pas grand chose…😉
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Parce que pour toi c’est soit 1/5 ou 5/5 ?
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3,5 est pour moi une bonne note (trop souvent donnée à mon goût sur le site et qui devient donc banale)… et ce que je veux dire c’est que tes commentaires (que je cite) sont un peu contradictoires avec cette note justement, c’est tout !😉
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Je ne vois pas la contradiction dont tu parles, j’aurai pu conclure par « sans être révolutionnaire cet album se laisse lire avec plaisir ». Difficile de faire autrement qu’une fin ouverte dans une série à suivre. Mais dans l’historique à conseiller de ce personnage, cet album n’apporte rien. A voir dans la suite à venir.
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Je t’ai donné mon ressenti après avoir lu ta chronique dont les 3 citations me paraissaient plutôt négatives (une fin ouverte est pour moi une vraie FIN de one shot, donc décevante car je déteste ça !),
Si c’est une série à suivre, c’est sûr que ce n’est pas la FIN…).😉
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