Autrice : Io Sakisaka
Éditeur : Kana
192 & 184 pages
Date de sortie : 31 mars et 5 mai 2023
Genre : shôjô, romance
« Jusque-là, j’étais une anonyme dans la foule. J’étais noyée dans la masse. Je n’avais pas spécialement envie de changer cette situation. Mais quand j’ai réalisé qu’une personne m’avait remarquée… J’ai eu l’impression d’avoir un nom pour la première fois. »
Présentation de l’éditeur :
Après s’être évanouie dans le train, Saku se retrouve à l’infirmerie de la gare. Son sauveur n’a laissé qu’un nom : Sakura…
Depuis ce jour : Saku aide toute personne dans le besoin dès qu’elle le peut, c’est sa façon de rendre hommage à la personne qui lui est venue en aide.
Elle est aussi désireuse de rencontrer « Sakura » et fait des recherches… Jusqu’au jour où elle rencontre le frère de son sauveur…

Mon avis :
Voici la fin du marathon de cette semaine, dédié à Io Sakisaka ! Place, aujourd’hui, à son dernier titre en date, « Sakura, Saku », qui reprend les éléments emblématiques de l’autrice. Comme à son habitude, elle prend une adolescente un peu en retrait, timide et réservée. Saku est la candeur personnifiée, de même que la fragilité étant donné qu’elle fait un malaise dans le métro dès les premières pages.
Le début d’une quête amoureuse bien particulière. Sans avoir pu voir qui l’avait sauvée, la jeune fille tient néanmoins à remercier ce chevalier servant qui l’a non seulement aidé dans le wagon, mais qui lui a ramené ses affaires à l’infirmerie de la gare. Ainsi que des coordonnées. Un nom, un prénom… et un numéro de téléphone qui n’est plus en service quand elle prend enfin le courage d’appeler. Il lui faudra alors attendre la rentrée au lycée pour entrapercevoir une chance d’enfin remercier et se déclarer à son sauveur par l’intermédiaire du frère de celui-ci.
Mais ç’eut été trop simple, évidemment ! Ryôsuke Sakura n’est pas celui qu’elle croit ! C’est un simple homonyme… Mais au lieu de déchanter, Saku réalise qu’à trop vouloir rencontrer son destinataire, elle était tombée amoureuse du messager, Haruki Sakura… De quoi retomber dans le schéma habituel du shôjô signé Io Sakisaka.
Ne reste plus qu’à espérer qu’elle retrouve, quand même, son sauveur, tout en nous faisant vivre ses premières passions, entourée de ses amis toujours plus nombreux autour d’elle. D’ailleurs, en fin de deuxième album, l’autrice laisse planer plus d’un doute quand aux sentiments des uns et des autres, pour la plus grande délectation des fleurs bleues en mal de romance… affaire à suivre !
ShayHlyn.







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