Uchronie(s),New Byzance T2.

UchroniesNewByzance02_8382583825_plaAuteurs :Corbeyran et Chabbert.
Editeur :Glénat.

Une réalité.
Zack Kosinski était un des rouages essentiels de New Byzance. Un homme important, dont la prescience servait à localiser les criminels avant qu’ils ne sachent eux-mêmes quels forfait ils allaient commettre. Ce qui assurait à l’Utopie fondamentaliste, système totalitaire bâti sur les ruines du 11 septembre, un excellent moyen de contrôle de sa population… Jusqu’au jour ou Zack lui-même commence à être inquiété par ceux qu’ils servaient… Et qui ne lui laissent dès lors d’autre choix que de se jete r sur les chemins de la clandestinité. Avec le risque que Zack ne décide de percer à jour certains mystères que ses dirigeants auraient préférés voir rester enfouis…

Stargate SG1.
Dans l’espace temps « uchronies », New Byzance est certainement l’univers qui me plait le plus. Le grand mérite en revient d’abords à Eric Chabbert qui avec son dessin magnifie le récit. J’ai bien aimé son univers architectural et son aisance à trouver un style vestimentaire original. En plus les femmes sont belles et comme elles n’ont pas grand chose à dire dans ce monde fondamentaliste, c’est une sorte de rêve (là je vous titille mesdames).Sinon, bien malin qui sait où nous mène Corbeyran.  Pour les explications spacio- temporelles, j’ai cru entendre parler Samantha Carter de la série Stargate. Les portes sont donc ouvertes jusqu’au tome 10 à mon avis .En attendant, cette série se lit avec intérêt et c’est bien là le principal.

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SAMBA

new byzance

LE DIABLE DES SEPT MERS-Seconde partie

DiableDesSeptMersLe2_diableDesSeptMersLeDessin : Hermann – Scénario : Yves H.
Editions Dupuis. Air Libre

Résumé (de l’éditeur) : Une plantation en feu, une fille de bonne famille fugueuse, un jeune aventurier qui rêve de trésor, un capitaine pirate à la barbe noire, un équipage de sales trognes assoiffées de rhum et de sang, des plages de sable fin, des cocotiers nourriciers, des requins affamés, tels étaient les ingrédients de la cuisine du diable concoctée par Hermann et Yves H. pour la première partie du « Diable des 7 mers ».
Pour le second volet de ce diptyque, le père et le fils ajoutent au gâteau infernal des vaisseaux anglais et leurs lots d’Habits Rouges, des sauvages et cruels Caribes, une véritable île au trésor et, surtout, un coffre plein à craquer de pièces d’or…
Entre « L’île au Trésor » et « Le Vampire des Caraïbes », « Le Diable des Sept mers » s’impose comme la quintessence du récit de pirates. Complices hors pair, les Huppen père et fils – Hermann et Yves – partent ici à l’abordage de l’un des plus grands mythes de l’aventure.

Mon avis : Encore une fois, ce diptyque se doit d’être lu dans la continuité et dans la foulée sous peine de lâcher rapidement le fil de l’histoire. C’est un peu compliqué et un peu confus comme histoire et je ne suis pas sûr d’avoir tout compris…Si en plus, le fantastique vient mettre son grain de sel, vous comprendrez qu’il y a lieu de s’accrocher par moment. Cela, c’est pour le scénario…Pour ce qui est du dessin, c’est toujours un pur régal. Hermann est vraiment un maître incontesté de la BD et c’est ce volet du travail qui sauve l’ensemble. Le dessin est très bien documenté également tant au niveau des détails de la marine à voile que des costumes et de l’Histoire avec un grand H. Ce n’est pas la meilleure production d’Hermann mais cela reste un bel ouvrage. Il faut faire abstraction du scénario pas toujours bien abouti et faire fi des invraisemblances pour gouter une belle aventure graphique.

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Capitol.

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