Le Résumé :
1949,dans une forêt des environs de Prague existe un mystérieux orphelinat : la Fondation Broemel. On y soigne de jeunes enfants victimes d’un terrible virus. Chaque lieu a son secret.
Sarah se réveille, ses parents sont morts de ce virus, elle est la seule survivante de sa famille, elle doit obéir aux docteurs, prendre des pilules pour se soigner et surtout ne voir personnes…
Mon avis :
Apres avoir complètement ratée cette BD à sa sortie, j’ai profité d’une visite chez un libraire pour la découvrir. L’histoire est captivante et après la lecture on se dit : "vivement la suite». J’ai fait le rapprochement avec quelques cases de la série « Mens Magna » que je n’avais pas trouvées assez développées. Les traits du tome 1 sont très soignés. Certaines pages un peu trop sombres, mais dignes de l’univers de cette BD.
Par contre la première édition possède un Portfolio à la fin rempli de clin d’œil amusant. Cette BD aurait mérité plus que des "murmures" à sa sortie. A découvrir !!
Ma Note : 7.5/10
Halloween blues,Lettres perdues.

Le résumé.
Auteurs : Kas et Mythic
Editeur : Le Lombard.
Résoudre une affaire d’enlèvement n’est jamais chose aisée. Mais, pour compliquer encore un peu la tâche, l’inspecteur Forester et ses collègues de New Salem devront commencer par identifier… la victime ! Laissant les policiers dans un flou total, une erreur postale a en effet permis à la lettre anonyme du kidnappeur d’atterrir sur un bureau du commissariat du comté. Heureusement, Forester a l’habitude des affaires au-delà de l’entendement: n’est-il pas harcelé par le fantôme de sa femme depuis l’assassinat jamais résolu de celle-ci… ?
Mon avis.
Pas de mauvaises surprises à craindre avec Halloween Blues. Comme d’habitude, les auteurs nous livrent un excellent polar dans une Amérique des années 50.Le scénario est habillement construit et la tension monte subtilement vers un suspens indéniable. Le dessin qu’en à lui rend bien l’ambiance de cette époque en donnant presque une touche de nostalgie quasi palpable. Il reste maintenant 2 albums pour conclure cette série, je pense qu’on y mettra l’accent sur le mystère Dana Anderson. Restera-t-elle un fantôme pour notre séduisant inspecteur Forester ? Qui lira, saura.

La porte d’Ishtar,La nuit des masques.

Le résumé.
Auteurs : Paris et Dupuis
Editeur : Les humanoïdes associes
La « porte d’Ishtar » est à Babylone le lieu où certaines condamnations sont exécutées… Taliya, vingt ans, vient d’être nommée par la reine à la tête du Service de la Justice royale. Simultanément, un haut dignitaire a été assassiné chez lui, dans des circonstances mystérieuses et inexplicables. Alors que tout le monde s’attend à ce que l’affaire soit classée, Taliya soupçonne un complot de plus vaste envergure. Mais comment mettre en cause un autre haut dignitaire de Babylone quand on n’est qu’une jeune fille, occupant le poste traditionnellement dévolu à un homme ?
Mon avis :
D’abord un coup de gueule, pourquoi faire des collections comme Portail chez le Lombard ou Dédales chez les Humanos pour les arrêter quelques temps après leur création ? On peut espérer que les séries de ces collections ne soient pas laissées à l’abandon. Pourquoi je vous parle de la défunte collection Dédales ? Car initialement, ce dyptique devait y figurer. Et c’est vrai que ce polar antique aurait eu sa place sans problème dans cette collection. Le point fort de cette BD, c’est qu’on sent que les auteurs se sont hyper documentés sur cette Babylone antique et donc on a ici un récit qui semble bien crédible du point de vue historique. Par contre ce qui ne l’est pas du tout crédible, ce sont les expressions sur les visages. L’héroïne a souvent un éternel sourire qui ressemble plus a un rictus qu’autre chose. D’ailleurs le dessinateur pour moi n’arrive pas à retransmettre les émotions via son dessin et c’est bien dommage ou alors c’est d’une manière très excessive et pas du tout naturelle sans parler du coté statique du trait. Le scénario lui se dissipe aussi dans une complexité excessive à cause des 3 enquêtes menées de front et un rythme mené tambour battant en oubliant de nous faire mieux connaître les protagonistes. Bref, j’ai trouvé la pochette bien belle, le reste……..
L’interview des auteurs ICI.

Djinn, tomes 4 à 7
L’histoire (scénario : Jean Dufaux, dessin et couleurs : Ana Mirallès)
A quoi sert un harem ? Au plaisir d’un souverain bien sûr. Mais bien naïf celui qui le limite à cet unique but. Car il est dit : »Satisfait un homme et tu obtiendras de lui tous les trésors de la terre ». Y compris ceux de la guerre.
Voilà pourquoi le harem du sultan Murati, surnommé le sultan noir, est pour lui une arme plus puissante que bien des armées dont disposent ces Anglais, ces Allemands qui se disputent ses faveurs et son alliance.
Fleur entre les fleurs, arme entre les armes, Jade, sa nouvelle favorite, est chargée par le maître d’Istanbul de mener à bien l’assaut d’un diplomate anglais à travers son talon d’Achille. Sa femme…
Info (je ne le savais pas en fait
) : les tomes 1 à 4 font parti d’un premier cycle se déroulant en Turquie.
Les tomes 5 à 7, d’un second cycle qui se passe en Afrique, cycle qui se terminera par le tome 8 (pas encore sorti).
L’avis de Gnès
Pour terminer sur le premier cycle (avec le tome 4), même appréciation que les tomes 1 à 3 : j’ai beaucoup aimé ! ![]()
Pour le second cycle en Afrique (tomes 5 à 7), je note que la couverture des albums est, comme à l’accoutumée, superbe. Ma préférence va à la couverture du tome 5, vraiment très belle.
Dessin et couleurs restent invariablement splendides, je dirai même mieux que les premiers tomes et surtout moins changeants dans les détails des visages, c’est plus agréable (mais là c’est du ‘’chipotage’’
).
La façon d’écrire est différente par rapport à celle du premier cycle. Le passé et le présent se trouvent moins (voire pas du tout) mélangés dans un seul et même album. C’est traité différemment, mais pas moins appréciable pour autant ![]()
Je rejoins Samba sur le fait que Jean Dufaux dévoile trop de choses dans la préface du tome 7. On sait déjà qu’il y a des morts certes, mais il donne les explications sur ces morts dès le début ! Etonnant ! ![]()
Et pour Jade, je la préfère avec son cœur qui bat moi aussi. La déesse Anaktu est impitoyable, ça fait froid dans le dos… et dire qu’il y avait des peuples comme ça !! brrr…
Pour conclure
Je ne me lasse pas de cette BD et je vais continuer à la suivre. J’attends le tome 8 de pied ferme, et cette fois je ne serai pas en retard, surtout qu’il clôture le second cycle !
Ma note
9/10
EDIT du 10/06/09 : contrairement à ce que j’ai écrit dans l’article ci-dessus, c’est le tome 9 qui terminera le cycle africain, pas le 8, mea culpa.
Photos du festival BD de Bastogne
Changement de lieu, moins pittoresque mais nettement plus grand.





En plus je me suis offert un petit extra avec un port folio. Pas mal non ?

Le chat du rabbin, La Bar-Mitsva
L’histoire (scénario et dessin : Joann Sfar, couleurs : Brigitte Findakly)
Le chat mange le perroquet de Zlabya, la fille du Rabbin, et du coup, le voilà doté de la parole et exigeant de faire sa bar-mitsva. Les discussions vont être longues tant avec le Rabbin lui-même qu’avec le Rabbin du Rabbin.

. C’est-à-dire qu’il n’y a pas souvent de bulles entre les personnages.Thème plaisant mais BD trop originale pour moi sur la forme. Je n’accroche pas du tout sur le dessin et le style d’écriture. Je n’achèterai pas le second tome. En tout cas pas tout de suite, je préfère me procurer des BDs qui m’attirent plus pour le moment (et il y en a beaucoup !!).
Ma note
Borderline, la BA.
Bande Annonce de Borderline. "Son pire ennemi se cache dans ce qu’il écrit…"
Vous pouvez retrouver ma chronique sur cette BD un peu plus bas dans le blog ou utilisez les colonnes .
Ellis (group),Sax.

Le résumé. (scenario :Sébastien Latour, Dessin :Griffo)
"Et si, même pour vingt-quatre petites heures, vos plus beaux rêves pouvaient devenir réalités ?
Seriez-vous prêt à payer le prix qu’exige le Marchand de Sable, être étrange capable de satisfaire un tel fantasme ?
À cette question, beaucoup ont répondu par l’affirmative… Mais, parce que les rêves se transforment souvent en cauchemars et les cauchemars font souvent place aux abominations, l’agence Ellis veille au grain… Fut-il de sable !"
Mon avis.
Voilà que l’éditeur nous change le titre de la série, Ellis devient Ellis Group. V’là que l’éditeur change la couverture du tome un. V’là que l’éditeur modifie le format, fini la collection Portail. Voilà qu’on ne fait pas attention à la faute d’impression page 13. Et donc voilà qu’André tombe dans le panneau en achetant ces deux tomes en pensant acheter une nouvelle série. Bon, s’il avait lu les news sur le forum, il aurait évité cette aberration. Mais doit-on prendre ce 2 ème tome pour un cauchemar tout autant ? Non, car je dois l’avouer, ce tome est nettement mieux passé que le tome initial. Il faut dire aussi que j’ai capté le concept onirique de cette série. Ce tome deux n’est donc plus une chimère pour le lecteur qui pourra de nouveau y admirer tout le talent de Griffo . Seule la vision finale est rageante car on coupe en plein crescendo.
« La vie est un rêve, c’est le réveil qui nous tue ».
Le blog de Sébastien Latour ICI.
Un autre filmé ICI.
Les Potamoks, Terra incognita
Quand le professeur Asclepios décide de partir sur les océans à la recherche d’êtres supérieurs, il ne suscite que doute et moqueries… Pourtant, sa petite embarcation croise bientôt un titanesque navire. A son bord, des êtres d’une race inconnue : les Potamoks.
L’avis de Gnès
Couleurs vives et dessin correct, cependant pas mon style préféré. Une histoire intéressante, sans plus de mystère que ça, mais ce n’est pas gênant.
C’est un peu déjanté par moment, c’est amusant 
Pour conclure
Une histoire distrayante et j’ai envie de connaître la suite, je vais donc acheter les 2 autres tomes

7.5/10
Djinn, tomes 1 à 3
L’histoire (scénario : Jean Dufaux, dessin et couleurs : Ana Mirallès)
A quoi sert un harem ? Au plaisir d’un souverain bien sûr. Mais bien naïf celui qui le limite à cet unique but. Car il est dit : »Satisfait un homme et tu obtiendras de lui tous les trésors de la terre ». Y compris ceux de la guerre.
Voilà pourquoi le harem du sultan Murati, surnommé le sultan noir, est pour lui une arme plus puissante que bien des armées dont disposent ces Anglais, ces Allemands qui se disputent ses faveurs et son alliance.
Fleur entre les fleurs, arme entre les armes, Jade, sa nouvelle favorite, est chargée par le maître d’Istanbul de mener à bien l’assaut d’un diplomate anglais à travers son talon d’Achille. Sa femme..
L’avis de Gnès
En ce moment, je suis à fond dans les BDs de Dufaux, allez savoir pourquoi… quelqu’un me guide peut-être ? N’est-ce pas Samba 😉Je suis en retard, je sais que cette série est connue. Mais bon, mieux vaut tard que jamais. En tout cas, je ne regrette pas. J’adore cette série, les dessins sont superbes, le scénario est bien et très prenant.
Et cette manière très bien faite de superposer le passé et le présent me plaît beaucoup. On met un peu de temps à s’y faire mais c’est marrant. Une bulle dans le passé, et la bulle suivante répond à celle du passé en étant dans le présent, enfin vous ne devez pas comprendre ce que je dis, pour ceux qui n’ont pas lu, mais c’est vraiment bien fait.
Parfois on s’y perd quand on mélange passé et présent, mais là non !!
Superbe BD, je ne vais pas tarder à poursuivre mes achats (du tomes 4 au 7), j’ai encore de quoi lire ! 😉
Ma note
Borderline,Les mots de la nuit.

Le métro ferme a une heure du mat
Le métro ouvre a six h du mat
Mon réveil s’ ouvre avec la voix de ma banquière
Mon réveil se ferme avec mon éditeur
Jean Reno part voir une fille de joie
Jean Reno fume un pétard
Le délire commence a 20h
On écrit à 20h30
J’suis Borderline
T’es Borderline
Il est Borderline
Nous sommes Borderline
Mon 2 ème livre sort à 10h
Mon procès revient à 11h
le tribunal ouvre à 9h
Le tribunal ferme à 16h et te condamne
Ton roman existe vraiment à 9h
Tu veux terminer le boulot à 18h
Tu vas la sauver à 23h
Tu trouves la femme du tueur à 7h du mat
C’est Borderline
J’suis Borderline
Il est Borderline
Nous sommes Borderline
Les poings s’allument à minuit
L’hôpital à minuit deux
Le feu vert revient à minuit deux
le tueur est arrêté à minuit quatre
Ma lecture du 1 er tome se termine à 21h
Elle est assez agréable à 21h30
Le dessin de Nathalie est réaliste à 21h30
Elle revient de maison dieu à 21h31
J’suis Borderline (Borderline)
T’es Borderline
Il est Borderline (Borderline)
Nous sommes Borderline
Ok D’accord c’est un peu tiré par les cheveux D’accord Ok D’accord c’est un polar fantastique OK
Un personnage assez sympathique et looser à midi seize une atmosphère particulière à 15h07 une tête d’homme à la Jean Reno à 22h à 1h Un looser à 02h20 ? ça ne colle pas à 5h du mat
Tout va bien ! Tout va BIEN !! TOUT VA BIEN !!!
Tout va bien. J’suis Borderline, T’es Borderline, Il est Borderline, Nous sommes Borderline, Vous êtes Borderline, Ils sont Borderline
(Borderline… Nous sommes Borderline… Tout va bien… …) …
La vraie version ICI.
Une interview de Nathalie Berr ICI.









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