Je ne peux pas résister à l’envie de vous montrer un petit extrait du prochain tome de Miss Pas touche . Elle me fait déjà bien rigoler avec sa détermination habituelle mais je parie que ça ne se passera pas si facilement.

Le site des auteurs ICI.
Je ne peux pas résister à l’envie de vous montrer un petit extrait du prochain tome de Miss Pas touche . Elle me fait déjà bien rigoler avec sa détermination habituelle mais je parie que ça ne se passera pas si facilement.

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Soit c’est ainsi, bon festival à tous.

Le résumé.
De jeunes garçons sont formés hors de leur famille à devenir des pistoleros, des chasseurs. Le jour où ils se sentent prêts, ils défient leur maître, s’ ils gagnent, ils auront droit à la liberté et surtout à devenir un homme et à obtenir les armes de leur père. S’ils ratent, ils seront bannis et deviendront des moins que rien. A eux de choisir le moment idéal…Roland est prêt à devenir le plus jeune pistolero de tous les temps et à se venger de son destin qui est manipulé par le sorcier Marten Largecape.
Mon avis.
Si vous parcourez le net à la recherche d’info sur ce comics mélangeant western et fantasy, vous trouverez qu’un concert de louanges .Petitsextraits: « Visuellement c’est vraiment top », « les personnages sont imposants et charismatiques », « Cet album est simplement indispensable pour tout amateur de BD qui se respecte, les fans de Stephen King ne devraient pas être déçus ! ».Et j’en passe et des meilleurs.
Non mais c’est quoi ce délire ???? Je veux bien admettre qu’un fan de Stephen King y trouve son bonheur mais pour un non-initié comme moi, c’est carrément la soupe à la grimace de lire ce truc. Visiblement, je suis le seul à qui l’avertissement de la première page s’adresse : …il est possible qu’il faille une phase d’adaptation pour le lecteur non averti. Car des phrases du style « Six sphères divinatoires parmi les 12 de ce qu’on appelle l’arc en ciel de Maerlyn.Et au plus près de lui, toujours, la sphère d’ébène, la 12 ème noire. », pour moi c’est du charabia. En plus de ces phrases énigmatiques, j’ai détesté la structure du phrasé (comme Yoda moi parler) et les sujets qui sautent du coq à l’âne en une case. En plus on nous parle de dessins sublimes. Pardon, il faut aimer le dessin à la sauce informatique et dépouillé. Voilà, j’ai joué mon Hughes Dayez en espérant au moins vous avoir averti. Vous intuitez ?

Je vous invite à découvrir la bande annonce du tome 2 , L’irlandaise de Jacques Pavot et de Pascal Gilles aux éditions du point d’exclamation. Lancez la vidéo et admirez .En plus n’oubliez pas de brancher le son, c’est accompagné d’un très grand moment de musique.
Le résumé.
Alors que le mythique royaume des fées Tir Nan Og est au bord du chaos, Stephen, perdu à New York, rencontre son double en Adam. Mais les deux garçons doivent prendre la fuite, poursuivis par les Technées. Une course-poursuite qui s’achèvera par une révélation de première importance pour Stephen. Mais qui doit-il croire ?
Mon avis.
J’ai envie d’être positif pour ce tome 2 de Tir nan Og.
D’abords, j’ai trouvé le dessin d’Elvire De Cock particulièrement agréable. On finit par être emporté par cette ambiance magique et fantastique grâce au talent de cette dessinatrice. Et puis à l’instar d’une Alice Picard, d’Ana Miralès ou d’une Béatrice Tillier, les femmes dessinatrices apportent un plus indéniable avec notamment une perfection des détails vestimentaires .Le résultat est souvent très esthétique et très inventif dans les coupes des habits. Ici, par exemple, le personnage d’Arawen m’a particulièrement ébloui par son élégance.
Pour en revenir à ce tome 2, l’intrigue est toujours aussi riche et mystérieuse. Un petit reproche cependant, le faible charisme des héros à cause d’un manque de “niaque” des dialogues. Allez, ce tome 2 est en net progrès, la suite ne peut que se bonifier.
Le blog D’Elvire De Cock ICI
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Le résumé.
Dans un monde où les Hommes et les Bêtes peinent à cohabiter, un pacte historique a été signé ; un processus de paix qui doit mettre fin aux sanglantes querelles ancestrales…
Le puissant Seigneur Maître Arcan et Loup de Traille, chef des Bêtes de Haute Taille, marient leurs enfants : la jolie Aube est donnée au valeureux Loup de Feu ; « poil et peau » ne doivent désormais faire qu’un. Mais le conflit entre les races est loin d’être résolu. Lorsque Loup de Feu est retrouvé sauvagement assassiné sur son lit de noces, les Bêtes de Haute Taille se jettent à la poursuite des coupables, Aube et son frère Salviat. Traquée par des meutes assoiffées de vengeance, la jeune femme parvient à se réfugier dans le mystérieux bois des Vierges… La guerre est déclarée, et les deux clans sont prêts à tout pour gagner une partie qui s’annonce meurtrière et impitoyable.
Mon avis.
Décidément Jean Dufaux nous surprendra toujours. Car il fallait l’oser, une histoire avec des bêtes en costume d’époque douées de la parole côtoyant la race humaine. Ridicule ? Aucunement car on est vite pris par l’originalité, le sérieux et surtout par le coté très divertissant de ce récit. Je peux même dire que j’ai été captivé par cette lutte entre les Loups et les humains grâce à un récit admirablement scénarisé avec un verbe haut. En plus, vous y découvrirez entre les lignes, l’absurdité des guerres et un appel à la tolérance vis-à-vis de la différence.
Et puis nous avons pour accompagner cette épopée, le dessin de Béatrice Tillier. On pourrait croire que ce récit a été écrit pour elle tellement son trait s’impose comme une évidence. Le rendu des décors, des bêtes, des batailles est tout à fait admirable. Un dessin 5 étoiles donc.
En résumé, une histoire mystérieuse, envoutante que je vous conseille. Un album à ne pas rater.


Le résumé .
Chacun de vous est recherché pour meurtre, terrorisme, vol, piratage informatique et autres joyeusetés… A partir d’aujourd’hui, vous travaillez pour nous. Nous vous formons, nous effaçons vos casiers judiciaires et vos identités, et vous obéissez aux ordres. Il n’y aura pas de remise de peine. Si vous échouez : vous mourez. Si vous trahissez : vous mourez. Epargnez-moi vos têtes de rebelles à la petite semaine, il ne s’agit pas d’une proposition…
Mon avis.
Cette « Akademy » pour commando d’élite m’a fait penser à Nikita .La différence avec le film, c’est qu’ici, ils sont 6 à partager la vedette. C’est plutôt sympa au début mais je me suis dit qu’au final tout ça était bien conventionnel et sans surprise. En plus, je trouve qu’on détricote beaucoup trop les scènes d’infiltration ou d’action au lieu de s’attarder sur certains points du scénario comme par exemple sur les pulsions dévastatrices ou tendres d’Anna. Au final, je me suis même ennuyé. J’aurais aimé certains silences mais avec la force d’un regard par exemple.
C’est assez dommage pour le dessin d’Anne Rouvin qui vaut le détour mais souvent trop confiné en milieu clos .Son trait mériterait de plus grand espace.
Le tome 3 sort actuellement, à vous de voir mais perso, je ne suis pas très chaud à continuer l’aventure sauf peut être pour revoir Anna.
Plusieurs liens à voir.
Le blog de Julien Blondel , le scénariste ICI
le blog d’Anne Rouvin (à voir) , la dessinatrice ICI.
Le site de la série ICI.

Vous en trouverez encore plein d’autres sur mon forum, section BD.J’y suis nettement moins soft puisqu’on est entre nous.




Le résumé.
Dirigée par l’agent Scanner, la cellule AK47 de la NSA est chargée par la secrétaire d’Etat Liz Browning de ‘pister’ une cargaison de cocaïne appartenant à Loloblanco, dictateur véreux, qui doit être importée aux USA dans les soutes d’un pétrolier. Le but de l’opération est d’identifier les circuits financiers par lesquels transite l’argent du tyran. Sous la pression des événements, la Maison-Blanche décide de s’approprier plus vite que prévu la fortune du dictateur vénézuélien. Scanner choisit alors d’infiltrer sa collaboratrice Jenny au sein du réseau ennemi, dirigé par la belle et dangereuse maîtresse de Loloblanco, Maria Nunez, alias ‘la tigresse noire’. Mais rien ne va se passer comme prévu…
Mon avis.
Amis de JCV (Jean Claude Van Damme pour les initiés), j’ai ce qu’il vous faut. Une série où l’action est omniprésente, ça explose, ça pétarade, ça mitraille, bref ça guerroie de tous les cotés. Ajoutez y un peu de fesse pour les males frustrés et vous obtenez une série hautement débile pour lobotomisés du cerveau. En plus c’est rempli de clichés et de facilités scénaristiques tellement grosses que même au deuxième degré, ça a du mal à passer. Et puis parfois c’est totalement nébuleux à cause de la multitude d’intervenants. Une palme à Carmen qui joue le rôle de pot fleur admirablement .Je pourrais écrire une longue litanie sur les incohérences et le manque de crédibilité (mais est ce le but?) de cette série tellement elles sont nombreuses. Bref, passez votre chemin, il n’y a rien à voir (à part pour les fans de JCV).
Are you aware?


Le résumé.
Marianne Bell est une jolie Parisienne passionnée par les sciences, qui se rend quotidiennement à son travail au Jardin des Plantes. Sa vie pourrait s’écouler sans histoire, pourtant de petits signes apparemment sans importance se rappellent régulièrement à elle : tous les cinq ans et sept mois, curieusement, il se passe en effet quelque chose d’important dans sa famille proche. Une sorte de cycle étrange qui n’a aucune explication, mais la précision de sa récurrence trouble confusément la jeune femme.
Or, la date fatidique est dans deux mois. Que peut-il bien arriver cette fois encore ? Mais pour l’heure, le quotidien semble banal : l’orage gronde sur Paris et la voiture de Marianne manque de renverser un homme qui cherche à s’abriter d’une pluie violente. Serviable et désolée, elle propose de le déposer quelque part. Il est des rencontres qui font toutefois basculer des destins.
Mon avis.
J’ai tout de suite senti que je n’allais pas accrocher à cette BD dès le début de la lecture. Et il m’en a fallu de la détermination pour ne pas laisser tomber ce récit. C’est en effet très bavard et particulièrement lent comme premier tome. Vous pourriez passer plusieurs pages sans que ça n’entrave votre compréhension de l’histoire. En plus on nous sert un petit coté irrationnel qui m’a particulièrement rebouté .Bref je me suis ennuyé grandement.
Le dessin très ligne claire de Bruno Marchand est très agréable à la vue mais il manque néanmoins de l’expressivité aux visages.
Le seul coté positif, ma filleule de 2 ans ½ a particulièrement aimé cette BD et surtout regarder les avions. C’est déjà ça de gagné me direz vous.
Un article pour la Libre Belgique ICI.

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